Les derniers combats qui se sont déroulés à l’est du Tchad le 1er avril dernier autour de la ville d’Adé ont fait une vingtaine de morts du coté des « rebelles » de l’Alliance nationale (AN) dirigée par le général Nouri. Du côté des forces encore fidèles au président tchadien Idriss Déby, aucun bilan officiel n’a été communiqué, mais le rapatriement des morts ou des blessés sur la capitale N’Djamena, a tout de même nécessité plusieurs rotations aériennes, note un observateur.
Au lendemain de cette nouvelle offensive, le ministère tchadien de la défense avait affirmé avoir repoussé victorieusement un ennemi « en pleine débandade ». Version, comme il se doit, fermement démentie du côté rebelles où, si l’on reconnaît que l’objectif espéré n’a pas été atteint, on précise : « Les combats ont duré environ 4 heures et les forces gouvernementales se sont retranchées dans un massif rocheux d’où il était effectivement très difficile de les déloger.»
Pour ne pas exposer inutilement nos hommes et notre matériel, nous avons choisi de nous retirer. Toutefois notre potentiel, notre force de frappe sont intacts. C’est un point qu’aura l’occasion de vérifier Idriss Déby très prochainement » assure ainsi un responsable de l’AN sur le terrain. Il a été constaté, par ailleurs, que l’armée française, en dehors d’un survol des positions rebelles, n’a cette fois pas participé directement aux combats.
Au lendemain de cette nouvelle offensive, le ministère tchadien de la défense avait affirmé avoir repoussé victorieusement un ennemi « en pleine débandade ». Version, comme il se doit, fermement démentie du côté rebelles où, si l’on reconnaît que l’objectif espéré n’a pas été atteint, on précise : « Les combats ont duré environ 4 heures et les forces gouvernementales se sont retranchées dans un massif rocheux d’où il était effectivement très difficile de les déloger.»
Pour ne pas exposer inutilement nos hommes et notre matériel, nous avons choisi de nous retirer. Toutefois notre potentiel, notre force de frappe sont intacts. C’est un point qu’aura l’occasion de vérifier Idriss Déby très prochainement » assure ainsi un responsable de l’AN sur le terrain. Il a été constaté, par ailleurs, que l’armée française, en dehors d’un survol des positions rebelles, n’a cette fois pas participé directement aux combats.