Moussa Alkhali Moussa, président du RAPCLO. © Alwihda Info
Le président du Réseau des associations pour la paix et la cohabitation pacifique du Logone occidental (RAPCLO), Moussa Alkhali, Moussa, dans un communiqué de presse parvenu à Alwihda Info, présente ses condoléances les plus attristées au président de la République, Idriss Deby Itno et aux proches parents suite au décès de Timan Deby Itno, survenu tragiquement et prématurément à la suite d’une maladie.
Il exprime toute sa compassion au président de la République pour le deuil qui l’a frappé de plein fouet. Selon lui, "qu’Allah le tout puissant puisse réconforter toute la famille endeuillée de l’illustre disparu et le président de la République à avoir la force nécessaire pour diriger l’appareil de l’Etat afin de donner une impulsion nouvelle au Tchad."
Le RAPCLO se dit en outre soucieux de préserver la paix chèrement acquise, et exhorte les éleveurs et les agriculteurs du Ouaddai en conflit à cesser toute velléité. Il les appelle à "se donner la main pour que règne la quiétude et la paix tant recherchées entre deux communautés qui sont les deux mamelles de notre économie, pourtant condamnées à vivre ensemble car unies par le destin, l’histoire et la géographie."
Il demande au Gouvernement et aux partenaires ainsi qu'aux organisations de la société civile de "tout mettre en œuvre pour que les deux communautés parlent le même langage" car dit-il, "il en va de l’intérêt national."
Il exprime toute sa compassion au président de la République pour le deuil qui l’a frappé de plein fouet. Selon lui, "qu’Allah le tout puissant puisse réconforter toute la famille endeuillée de l’illustre disparu et le président de la République à avoir la force nécessaire pour diriger l’appareil de l’Etat afin de donner une impulsion nouvelle au Tchad."
Le RAPCLO se dit en outre soucieux de préserver la paix chèrement acquise, et exhorte les éleveurs et les agriculteurs du Ouaddai en conflit à cesser toute velléité. Il les appelle à "se donner la main pour que règne la quiétude et la paix tant recherchées entre deux communautés qui sont les deux mamelles de notre économie, pourtant condamnées à vivre ensemble car unies par le destin, l’histoire et la géographie."
Il demande au Gouvernement et aux partenaires ainsi qu'aux organisations de la société civile de "tout mettre en œuvre pour que les deux communautés parlent le même langage" car dit-il, "il en va de l’intérêt national."