Le président de la Coordination nationale des cadres arabophones de l'enseignement supérieur, Dr. Ousmane Bachir Hasssaballah, a dénoncé samedi l'apparition de personnes et associations qui prétendent représenter les arabophones, en cherchant à acquérir des intérêts personnels à travers l'argument des droits des arabophones.
Selon Dr. Ousmane Bachir Hasssaballah, ces personnes exigent la réformation du gouvernement afin qu'il soit à parité égale entre arabophones et francophones. "Ces personnes sont arrivées jusqu'à inviter ouvertement le gouvernement malgré qu'elles soient nommées par décret à des postes des responsabilités", fustige Dr. Ousmane Bachir Hasssaballah.
La Coordination relève que la Charte de transition énonce clairement que l'arabe et le français sont les deux langues officielles du pays. Il ajoute qu'il n'a pas été mentionné que la société est divisée en arabophones et francophones. Ainsi, la Coordination "s'étonne de la présence de ceux qui cherchent à diviser la société tchadienne sur la base de la langue, et rejette complètement cette fausse orientation".
"Il y a des organisations inconnues et non autorisées par l'État qui signent et propagent des déclarations au nom des arabophones pour inciter certains responsables à des intérêts personnels", souligne Dr. Ousmane Bachir Hasssaballah. La coordination "exige de mettre fin à l'ingérence des responsables dans les affaires de la société civile". Elle indique que "la langue n'est qu'un moyen de communication et non pas un moyen pour arriver au poste de responsabilité".
"Les arabophones ne sont pas des mineurs ou une minorité primée au sein de la société jusqu'à ce qu'une personne prétend les représenter et parler à leur place. Parmi les arabophones, il y a des compétences dans tous les domaines scientifiques ou littéraires", relève la Coordination qui exhorte le gouvernement au respect des textes constitutionnels qui évoquent l'égalité entre les deux langues dans l'administration publique pour une application effective du bilinguisme et garantir un enseignement bilingue à toutes les couches sociales afin de mettre fin à ces différents entre les fils d'un seul peuple.
Selon Dr. Ousmane Bachir Hasssaballah, ces personnes exigent la réformation du gouvernement afin qu'il soit à parité égale entre arabophones et francophones. "Ces personnes sont arrivées jusqu'à inviter ouvertement le gouvernement malgré qu'elles soient nommées par décret à des postes des responsabilités", fustige Dr. Ousmane Bachir Hasssaballah.
La Coordination relève que la Charte de transition énonce clairement que l'arabe et le français sont les deux langues officielles du pays. Il ajoute qu'il n'a pas été mentionné que la société est divisée en arabophones et francophones. Ainsi, la Coordination "s'étonne de la présence de ceux qui cherchent à diviser la société tchadienne sur la base de la langue, et rejette complètement cette fausse orientation".
"Il y a des organisations inconnues et non autorisées par l'État qui signent et propagent des déclarations au nom des arabophones pour inciter certains responsables à des intérêts personnels", souligne Dr. Ousmane Bachir Hasssaballah. La coordination "exige de mettre fin à l'ingérence des responsables dans les affaires de la société civile". Elle indique que "la langue n'est qu'un moyen de communication et non pas un moyen pour arriver au poste de responsabilité".
"Les arabophones ne sont pas des mineurs ou une minorité primée au sein de la société jusqu'à ce qu'une personne prétend les représenter et parler à leur place. Parmi les arabophones, il y a des compétences dans tous les domaines scientifiques ou littéraires", relève la Coordination qui exhorte le gouvernement au respect des textes constitutionnels qui évoquent l'égalité entre les deux langues dans l'administration publique pour une application effective du bilinguisme et garantir un enseignement bilingue à toutes les couches sociales afin de mettre fin à ces différents entre les fils d'un seul peuple.