Au regard des passants, sous la chaleur intense du soleil, le bruit cadencé des marteaux frappant blocs de grosses pierres se fait ressentir.
Ce sont des enfants, dont l’âge se situe entre 12 à 15 ans, qui tapent sur ces cailloux, une manière d'aider leurs parents, loin des salles de jeux, un avenir pénible se dessine sous la direction des parents. Sous un petit hangar fait de tissus usés, Am Adoum devant le tas des morceaux de blocs déjà concassés, refuse de se faire filmer.
« Nous remercions Dieu pour ce travail dur et nos enfants sont notre seul espoir », lance-t-elle, mécontente.
En effet, le concassage consiste à réduire en morceaux les blocs de granite, réutilisés encore dans la construction de bâtiments. Ces femmes achètent ces blocs dans certains chantiers, ou parfois avec des jeunes qui les transportent sur place dans un port-tout. Ils sont nombreux, filles et garçons à travailler dans cet espace.
« Pour moi, ce n'est pas pénible, le soir je pars jouer au football », répond l'un d'entre eux, qui refuse de dire son nom et son âge. Toutefois, le seul dénominateur commun dans cette situation est la pauvreté des parents. Dans un pays où 80% de la population vit en dessous du seuil de la pauvreté, cette activité est encouragée par les parents.
Ce sont des enfants, dont l’âge se situe entre 12 à 15 ans, qui tapent sur ces cailloux, une manière d'aider leurs parents, loin des salles de jeux, un avenir pénible se dessine sous la direction des parents. Sous un petit hangar fait de tissus usés, Am Adoum devant le tas des morceaux de blocs déjà concassés, refuse de se faire filmer.
« Nous remercions Dieu pour ce travail dur et nos enfants sont notre seul espoir », lance-t-elle, mécontente.
En effet, le concassage consiste à réduire en morceaux les blocs de granite, réutilisés encore dans la construction de bâtiments. Ces femmes achètent ces blocs dans certains chantiers, ou parfois avec des jeunes qui les transportent sur place dans un port-tout. Ils sont nombreux, filles et garçons à travailler dans cet espace.
« Pour moi, ce n'est pas pénible, le soir je pars jouer au football », répond l'un d'entre eux, qui refuse de dire son nom et son âge. Toutefois, le seul dénominateur commun dans cette situation est la pauvreté des parents. Dans un pays où 80% de la population vit en dessous du seuil de la pauvreté, cette activité est encouragée par les parents.