Le confinement de la ville de N'Djamena et le renforcement des mesures sanitaires a des conséquences sur les transports inter-urbains. Depuis hier, plusieurs bus, véhicules et citoyens sont bloqués aux entrées de N'Djamena.
Le décret n° 2685 du 31 décembre 2020 a été annoncé jeudi soir. Il est entré en vigueur quelques heures après, le 1er janvier 2020 dès minuit. En conséquence, les frontières terrestres de la ville de N'Djamena sont fermées et il est impossible pour les voyageurs d'entrer dans la ville.
À Koundoul, au Sud de la capitale, des bus sont alignés sur la route tandis que des centaines de voyageurs sont désespérés face à l'intransigeance des forces de sécurité. Même chose à l'entrée Nord de la capitale. Les voyageurs n'ont pas eu le temps de se préparer ni d'anticiper les mesures qui vont s'étendre tout au long de la semaine, avec un possible renouvellement. Dans l'attente d'une solution, c'est sous des arbres, au bord de la route, que des civils se sont réfugiés.
À N'Djamena, la population juge ces mesures trop brusques et drastiques malgré la hausse inquiétante des cas de Covid-19. De l'avis des citoyens, c'est notamment le manque d'adaptation qui est reproché aux autorités, surtout pour une population qui vit au jour le jour. Pour la coordination nationale de riposte sanitaire, ces mesures sont nécessaires car l'afflux des patients peut entrainer une surcharge des capacités d'accueil dans les structures sanitaires de la capitale qui est le principal foyer de l'épidémie.
Les limites de N'Djamena pour le confinement sont fixées comme suit : à l'Est jusqu'à N'Djamena-Koura ; à l'Ouest jusqu'à Mara ; au Sud jusqu'à Koundoul ; au Nord jusqu'à Djermaya.
Le décret n° 2685 du 31 décembre 2020 a été annoncé jeudi soir. Il est entré en vigueur quelques heures après, le 1er janvier 2020 dès minuit. En conséquence, les frontières terrestres de la ville de N'Djamena sont fermées et il est impossible pour les voyageurs d'entrer dans la ville.
À Koundoul, au Sud de la capitale, des bus sont alignés sur la route tandis que des centaines de voyageurs sont désespérés face à l'intransigeance des forces de sécurité. Même chose à l'entrée Nord de la capitale. Les voyageurs n'ont pas eu le temps de se préparer ni d'anticiper les mesures qui vont s'étendre tout au long de la semaine, avec un possible renouvellement. Dans l'attente d'une solution, c'est sous des arbres, au bord de la route, que des civils se sont réfugiés.
À N'Djamena, la population juge ces mesures trop brusques et drastiques malgré la hausse inquiétante des cas de Covid-19. De l'avis des citoyens, c'est notamment le manque d'adaptation qui est reproché aux autorités, surtout pour une population qui vit au jour le jour. Pour la coordination nationale de riposte sanitaire, ces mesures sont nécessaires car l'afflux des patients peut entrainer une surcharge des capacités d'accueil dans les structures sanitaires de la capitale qui est le principal foyer de l'épidémie.
Les limites de N'Djamena pour le confinement sont fixées comme suit : à l'Est jusqu'à N'Djamena-Koura ; à l'Ouest jusqu'à Mara ; au Sud jusqu'à Koundoul ; au Nord jusqu'à Djermaya.