Les conditions imposées par certains filles ou parents pour le mariage, poussent certaines personnes n'ayant pas suffisamment des moyens financiers à renoncer à leur engagement. Les conditions sociales ne sont pas favorables à certaines personnes pour aboutir à leur aspiration, le cas de mariage semble évident.
« Je suis un débrouillard, je vis dans une maison en location, mais ma copine exige qu'on organise un mariage public, je n'ai pas assez de moyens, pour supporter le coût », souligne André. Même quand les deux familles des futurs mariés ont trouvé un compromis permettant à leur progéniture de s'unir, il faut souligner que l'environnement compromet la concrétisation.
« Nos deux familles sont d'accord, pour eux, c'est à nous d'organiser notre mariage, selon notre volonté, mais ma fiancée insiste pour que cela soit célébré publiquement. Ce qui m'a poussé à laisser tomber », ajoute André. Le suivisme, la convoitise ont pris le contrôle, compromettant ainsi la vision de certaines personnes, aspirant vivre comme leur prochain, tout en oubliant que chaque individu est différent de l'un et l'autre.
« C'est un moment unique dans la vie, mes copines, lors de leurs mariages, ont organisé une cérémonie grandiose. Je préfère que le mien soit célébré, ainsi pour qu'elles viennent profiter aussi », indique Carine. Il faut souligner que, pour certains, le mariage est synonyme de faire des courses folles sur les grandes voies, à travers les engins à deux et quatre roues. Juste pour le plaisir d'attirer le regard, cette pratique a pris de l'ampleur dans la capitale tchadienne. Des comportements qui perturbent la circulation, occasionnant des accidents de la voie publique.
Selon le sociologue Arnaud, le modernisme a pris de l'ampleur sur la société tchadienne, surtout dans les villes, chaque individu aspire vivre au-dessus de ses moyens. Cette vision des choses ne correspond pas à la réalité de certaines personnes. Les femmes sont souvent impressionnées par tout ce qui est au tour d'elles, surtout les cérémonies de mariage qui sont considérées comme honneur, impliquant la valorisation de la femme notamment, la dot et le mariage.
Chaque personne rêve d'attirer l'attention de la société pour ainsi prouver sa supériorité. Le sociologue estime qu’« il faut que chaque personne accepte de vivre selon ses moyens, le bonheur du couple est basé sur la compréhension de l'un et l'autre, et non sur des évènements éphémères ».
Il faut comprendre que dans la vie, les conditions sociales varient, mais le vrai amour n'a pas des conditions.
« Je suis un débrouillard, je vis dans une maison en location, mais ma copine exige qu'on organise un mariage public, je n'ai pas assez de moyens, pour supporter le coût », souligne André. Même quand les deux familles des futurs mariés ont trouvé un compromis permettant à leur progéniture de s'unir, il faut souligner que l'environnement compromet la concrétisation.
« Nos deux familles sont d'accord, pour eux, c'est à nous d'organiser notre mariage, selon notre volonté, mais ma fiancée insiste pour que cela soit célébré publiquement. Ce qui m'a poussé à laisser tomber », ajoute André. Le suivisme, la convoitise ont pris le contrôle, compromettant ainsi la vision de certaines personnes, aspirant vivre comme leur prochain, tout en oubliant que chaque individu est différent de l'un et l'autre.
« C'est un moment unique dans la vie, mes copines, lors de leurs mariages, ont organisé une cérémonie grandiose. Je préfère que le mien soit célébré, ainsi pour qu'elles viennent profiter aussi », indique Carine. Il faut souligner que, pour certains, le mariage est synonyme de faire des courses folles sur les grandes voies, à travers les engins à deux et quatre roues. Juste pour le plaisir d'attirer le regard, cette pratique a pris de l'ampleur dans la capitale tchadienne. Des comportements qui perturbent la circulation, occasionnant des accidents de la voie publique.
Selon le sociologue Arnaud, le modernisme a pris de l'ampleur sur la société tchadienne, surtout dans les villes, chaque individu aspire vivre au-dessus de ses moyens. Cette vision des choses ne correspond pas à la réalité de certaines personnes. Les femmes sont souvent impressionnées par tout ce qui est au tour d'elles, surtout les cérémonies de mariage qui sont considérées comme honneur, impliquant la valorisation de la femme notamment, la dot et le mariage.
Chaque personne rêve d'attirer l'attention de la société pour ainsi prouver sa supériorité. Le sociologue estime qu’« il faut que chaque personne accepte de vivre selon ses moyens, le bonheur du couple est basé sur la compréhension de l'un et l'autre, et non sur des évènements éphémères ».
Il faut comprendre que dans la vie, les conditions sociales varient, mais le vrai amour n'a pas des conditions.