Bon nombre de Tchadiens n'arrivent pas à manger leur plat préféré au quotidien. Cette problématique nécessite une action que de discours. Cependant, il est important d'avoir un organe de fixation de prix, un outil qui permet à alléger les paniers des ménagères, et faire face aux commerçants véreux.
Cependant à N’Djamena, pour avoir un repas de qualité au quotidien, il faut être fort dans les calculs. Difficile pour une famille de 5 personnes d'utiliser un 5000 FCFA pour la ration alimentaire. Selon Nodyam Irène, mère de 3 trois enfants, « la vie à N’Djamena est trop chère, on utilise 5500 FCFA pour le repas de l'après-midi. Sans compter le petit déjeuner, qui par habitude est constitué d’un verre de thé et deux gâteaux.
Quant au dîner, ce qu'on trouve seulement », a-t-elle répondue d'une aire triste. Même situation partout dans les foyers, décrie Haroun Adoum, chauffeur de taxi, « depuis trois ans on a supprimé le repas de l'après-midi. Il faut 7500 FCFA au plus 230 000 FCFA, pour nourrir sa famille au quotidien. L’État ne fait rien et les commerçants justifient toujours la hausse des prix », déplore-t-il.
À titre d'exemple, la gestion d’un salaire de 180 000FCFA pour un ménage avec deux enfants, sans compter les visiteurs et la famille proche du couple qui ont droit à la nourriture et autres assistances : loyer 50000 FCFA, électricité : 7000 FCFA, transport : 3 0000 FCFA, ration alimentaire : 110 000 FCFA, scolarité (frais d'inscription et fourniture scolaire sans argent de poche pour les enfants) : 30000 FCFA (école publique), assistante familiale (dote, mariage et autres), et santé. Une triste réalité que la vie de différents fonctionnaires de l'État.
Toutefois, il existe ceux qui ne sont pas en location. Au fait, le contrôle des prix désigne les restrictions gouvernementales imposées sur les prix des denrées et services d'un marché. Les objectifs de tels contrôles sont, notamment, de maintenir accessible l'accès aux aliments de base, d'éviter les prix abusifs.
Historiquement, le contrôle des prix fait souvent partie d'une politique des revenus, plus large qui comprend un contrôle des salaires ainsi que d'autres règlements semblables. Il existe auparavant, dans les pays en voie de développement, une caisse de compensation concernant les produits de première nécessité. Le gouvernement fixe, le prix de vente au vendeur, largement inférieur au prix du marché.
La différence est versée aux vendeurs, via la caisse de compensation. Cette politique de fixation de prix permet d'aider les ménages d'un côté et de l'autre avoir un droit regard sur le prix. Malheureusement, le Tchad ne dispose aucun organe de contrôle de prix.
Cette liberté de fixer par les commerçants est une grosse perte pour l'État et la population même. Il est temps de régulariser le prix d'achat des denrées de première nécessité.
Cependant à N’Djamena, pour avoir un repas de qualité au quotidien, il faut être fort dans les calculs. Difficile pour une famille de 5 personnes d'utiliser un 5000 FCFA pour la ration alimentaire. Selon Nodyam Irène, mère de 3 trois enfants, « la vie à N’Djamena est trop chère, on utilise 5500 FCFA pour le repas de l'après-midi. Sans compter le petit déjeuner, qui par habitude est constitué d’un verre de thé et deux gâteaux.
Quant au dîner, ce qu'on trouve seulement », a-t-elle répondue d'une aire triste. Même situation partout dans les foyers, décrie Haroun Adoum, chauffeur de taxi, « depuis trois ans on a supprimé le repas de l'après-midi. Il faut 7500 FCFA au plus 230 000 FCFA, pour nourrir sa famille au quotidien. L’État ne fait rien et les commerçants justifient toujours la hausse des prix », déplore-t-il.
À titre d'exemple, la gestion d’un salaire de 180 000FCFA pour un ménage avec deux enfants, sans compter les visiteurs et la famille proche du couple qui ont droit à la nourriture et autres assistances : loyer 50000 FCFA, électricité : 7000 FCFA, transport : 3 0000 FCFA, ration alimentaire : 110 000 FCFA, scolarité (frais d'inscription et fourniture scolaire sans argent de poche pour les enfants) : 30000 FCFA (école publique), assistante familiale (dote, mariage et autres), et santé. Une triste réalité que la vie de différents fonctionnaires de l'État.
Toutefois, il existe ceux qui ne sont pas en location. Au fait, le contrôle des prix désigne les restrictions gouvernementales imposées sur les prix des denrées et services d'un marché. Les objectifs de tels contrôles sont, notamment, de maintenir accessible l'accès aux aliments de base, d'éviter les prix abusifs.
Historiquement, le contrôle des prix fait souvent partie d'une politique des revenus, plus large qui comprend un contrôle des salaires ainsi que d'autres règlements semblables. Il existe auparavant, dans les pays en voie de développement, une caisse de compensation concernant les produits de première nécessité. Le gouvernement fixe, le prix de vente au vendeur, largement inférieur au prix du marché.
La différence est versée aux vendeurs, via la caisse de compensation. Cette politique de fixation de prix permet d'aider les ménages d'un côté et de l'autre avoir un droit regard sur le prix. Malheureusement, le Tchad ne dispose aucun organe de contrôle de prix.
Cette liberté de fixer par les commerçants est une grosse perte pour l'État et la population même. Il est temps de régulariser le prix d'achat des denrées de première nécessité.