Tchad : fleuriste et mère, Denemadji Koulamadji prend en charge sa famille avec son métier. © Golmem Ali/Alwihda Info
Denemadji Koulamadji Henriette, c'est le nom de cette vaillante femme qui a choisi de se lancer dans la production, la vente et l'entretien des fleurs, des plantes ornementales et plantes fruitiers pour se prendre en charge.
Installée au bord de la rue bitumée devant l'école primaire de Dombao à Moundou, cette mère de trois enfants dont des jumeaux, propose des plantes et des fleurs aux clients. Calme sereine et déterminée, on peut lire dans le visage de Denemadji, comme l'appellent affectueusement ses clients, la passion qui l'anime dans ce métier.
Hôtelière de formation et après avoir exercé dans plusieurs entreprises de gardiennage comme agent de sécurité, la dame de 36 ans a choisi se métier qu'elle tient de son père. "Je veux pérenniser l'héritage que m'a laissé mon père". Aujourd'hui son père malade ne peut plus rien faire.
C'est grâce à ses revenus que la vaillante Denemadji s'occupe de lui. Elle explique que les revenus de ce métier qu'elle a choisie d'embrasser il y a trois ans, lui ont permis de se construire une habitation. Cela lui permet de se prendre en charge et d'épauler son mari dans les besoins de la famille telles que la scolarité des enfants et autres.
Avec la permission du chef de quartier, Denemadji a entrepris de planter des fleurs au rond point de la femme Tchadienne situé à proximité de ses installations. "C'est un rond point dédié aux femme et comme j'en suis une, j'ai bien voulue le rendre plus jolie en y plantant des fleurs. J'y veillerai tous les jours".
Denemadji est également sollicitée par certains clients pour tailler et entretenir des fleurs à domicile. Malgré son métier très contraignant, Denemadji assure qu'elle parvient à s'occuper normalement de son foyer. Elle se fait aider par ses enfants et par quelqu'un qu'elle rémunère en cas de besoin ou lorsqu'elle doit s'absenter pour se rendre dans son verger situé a plusieurs kilomètres à la sortie de la ville pour s'occuper de ses arbres fruitiers.
Denemadji, malgré les difficultés, affirme trouver son compte dans ce métier. Elle encourage les femmes à se battre dans la vie et ne pas compter que sur les les hommes. "Chacun doit contribuer pour le bien être de la famille". Elle ajoute avec sourire aux lèvres : "il n'y a pas de sots métiers, pourvu de faire avec amour, détermination et honnêteté ce que l'on fait. Le reste, Dieu pourvoit".
Installée au bord de la rue bitumée devant l'école primaire de Dombao à Moundou, cette mère de trois enfants dont des jumeaux, propose des plantes et des fleurs aux clients. Calme sereine et déterminée, on peut lire dans le visage de Denemadji, comme l'appellent affectueusement ses clients, la passion qui l'anime dans ce métier.
Hôtelière de formation et après avoir exercé dans plusieurs entreprises de gardiennage comme agent de sécurité, la dame de 36 ans a choisi se métier qu'elle tient de son père. "Je veux pérenniser l'héritage que m'a laissé mon père". Aujourd'hui son père malade ne peut plus rien faire.
C'est grâce à ses revenus que la vaillante Denemadji s'occupe de lui. Elle explique que les revenus de ce métier qu'elle a choisie d'embrasser il y a trois ans, lui ont permis de se construire une habitation. Cela lui permet de se prendre en charge et d'épauler son mari dans les besoins de la famille telles que la scolarité des enfants et autres.
Avec la permission du chef de quartier, Denemadji a entrepris de planter des fleurs au rond point de la femme Tchadienne situé à proximité de ses installations. "C'est un rond point dédié aux femme et comme j'en suis une, j'ai bien voulue le rendre plus jolie en y plantant des fleurs. J'y veillerai tous les jours".
Denemadji est également sollicitée par certains clients pour tailler et entretenir des fleurs à domicile. Malgré son métier très contraignant, Denemadji assure qu'elle parvient à s'occuper normalement de son foyer. Elle se fait aider par ses enfants et par quelqu'un qu'elle rémunère en cas de besoin ou lorsqu'elle doit s'absenter pour se rendre dans son verger situé a plusieurs kilomètres à la sortie de la ville pour s'occuper de ses arbres fruitiers.
Denemadji, malgré les difficultés, affirme trouver son compte dans ce métier. Elle encourage les femmes à se battre dans la vie et ne pas compter que sur les les hommes. "Chacun doit contribuer pour le bien être de la famille". Elle ajoute avec sourire aux lèvres : "il n'y a pas de sots métiers, pourvu de faire avec amour, détermination et honnêteté ce que l'on fait. Le reste, Dieu pourvoit".
Tchad : fleuriste et mère, Denemadji Koulamadji prend en charge sa famille avec son métier. © Golmem Ali/Alwihda Info
Tchad : fleuriste et mère, Denemadji Koulamadji prend en charge sa famille avec son métier. © Golmem Ali/Alwihda Info
Tchad : fleuriste et mère, Denemadji Koulamadji prend en charge sa famille avec son métier. © Golmem Ali/Alwihda Info
Tchad : fleuriste et mère, Denemadji Koulamadji prend en charge sa famille avec son métier. © Golmem Ali/Alwihda Info
Tchad : fleuriste et mère, Denemadji Koulamadji prend en charge sa famille avec son métier. © Golmem Ali/Alwihda Info