Lors de son discours, Abdoulaye Seye, spécialiste des droits de l'homme et représentant du Bureau du HCDH au Tchad, a rappelé que les droits de l'homme ont inspiré la quasi-totalité des instruments juridiques internationaux, régionaux et nationaux des États parties en matière de droits de l'homme. Cette journée avait pour objectif de renforcer l'engagement des jeunes dans la promotion et l'éducation aux droits de l'homme à l'occasion du 75e anniversaire de la DUDH.
Les discussions avec les jeunes ont porté sur la mise en œuvre des droits contenus dans la DUDH, la participation au niveau local, la sensibilisation des jeunes à leur rôle dans la promotion des droits de l'homme, et la présentation des priorités locales, nationales et internationales en matière de promotion des droits de l'homme. De plus, des expériences, des bonnes pratiques et des histoires positives sur l'engagement des jeunes dans la promotion des droits de l'homme ont été partagées.
Il a été souligné que des actions fortes, immédiates et soutenues sont nécessaires pour faire face aux impacts les plus graves, tels que la famine, la pauvreté, les inégalités, les discriminations de toutes sortes, la corruption, le chômage, et bien d'autres, afin de limiter la souffrance humaine. Tous, y compris les jeunes, doivent s'engager à lutter contre les causes profondes de ces crises pour éviter d'aggraver leur vulnérabilité. Cette session de sensibilisation et d'échanges vise à renforcer l'engagement commun en faveur des droits de l'homme.
La directrice adjointe du ministère de la Jeunesse, des Sports, des Loisirs et du Leadership Entrepreneurial, Khadidja Abdramane Koko, qui représente le ministre, a souligné que la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, adoptée le 10 décembre 1948, a été le premier texte au niveau international en matière de droits de l'homme que le Tchad a ratifié.
La campagne du 75e anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, sous le thème "Dignité, Liberté et justice pour tous", englobe non seulement les villes d'Abéché, de Doba, de Sarh, mais également celle de Ndjamena. Elle vise à évaluer la situation des droits de l'homme non seulement dans ces villes, mais sur l'ensemble du territoire national, encourageant ainsi l'échange et le partage d'expériences et de connaissances en matière de droits de l'homme, dans cette période de transition où tout le peuple tchadien aspire à sa refondation dans le respect des droits de l'homme.
Les discussions avec les jeunes ont porté sur la mise en œuvre des droits contenus dans la DUDH, la participation au niveau local, la sensibilisation des jeunes à leur rôle dans la promotion des droits de l'homme, et la présentation des priorités locales, nationales et internationales en matière de promotion des droits de l'homme. De plus, des expériences, des bonnes pratiques et des histoires positives sur l'engagement des jeunes dans la promotion des droits de l'homme ont été partagées.
Il a été souligné que des actions fortes, immédiates et soutenues sont nécessaires pour faire face aux impacts les plus graves, tels que la famine, la pauvreté, les inégalités, les discriminations de toutes sortes, la corruption, le chômage, et bien d'autres, afin de limiter la souffrance humaine. Tous, y compris les jeunes, doivent s'engager à lutter contre les causes profondes de ces crises pour éviter d'aggraver leur vulnérabilité. Cette session de sensibilisation et d'échanges vise à renforcer l'engagement commun en faveur des droits de l'homme.
La directrice adjointe du ministère de la Jeunesse, des Sports, des Loisirs et du Leadership Entrepreneurial, Khadidja Abdramane Koko, qui représente le ministre, a souligné que la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, adoptée le 10 décembre 1948, a été le premier texte au niveau international en matière de droits de l'homme que le Tchad a ratifié.
La campagne du 75e anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, sous le thème "Dignité, Liberté et justice pour tous", englobe non seulement les villes d'Abéché, de Doba, de Sarh, mais également celle de Ndjamena. Elle vise à évaluer la situation des droits de l'homme non seulement dans ces villes, mais sur l'ensemble du territoire national, encourageant ainsi l'échange et le partage d'expériences et de connaissances en matière de droits de l'homme, dans cette période de transition où tout le peuple tchadien aspire à sa refondation dans le respect des droits de l'homme.