Une femme qui avait été forcée par son mari à rejoindre Boko Haram a été libérée mardi, lors d'une cérémonie à la maison d'arrêt d'Amsinene, après cinq ans de détention. Elle a bénéficié de la grâce présidentielle.
Elle a expliqué à la presse avoir été trompée par son mari lorsqu'elle avait 24 ans. Elle ne savait rien et n'avait aucune possibilité de s'enfuir, selon ses explications.
"Désormais, je vais rester avec mes proches ici à N'Djamena, étudier et trouver du travail", a-t-elle dit.
"C'est mon mari qui m'a emmené au terrorisme. Je ne repartirai pas", a expliqué la jeune femme qui s'est dit heureuse d'être libérée.
538 condamnés ont bénéficié de la grâce présidentielle suite à un décret du 10 août 2020.
Elle a expliqué à la presse avoir été trompée par son mari lorsqu'elle avait 24 ans. Elle ne savait rien et n'avait aucune possibilité de s'enfuir, selon ses explications.
"Désormais, je vais rester avec mes proches ici à N'Djamena, étudier et trouver du travail", a-t-elle dit.
"C'est mon mari qui m'a emmené au terrorisme. Je ne repartirai pas", a expliqué la jeune femme qui s'est dit heureuse d'être libérée.
538 condamnés ont bénéficié de la grâce présidentielle suite à un décret du 10 août 2020.