Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres. © ONU/Jean-Marc Ferré
"J’espère que le dialogue sera inclusif et représentatif de la diversité du paysage politique et sociaux du Tchad, rassemblant des femmes et hommes tchadiens de toutes les générations et de toutes les régions du pays", a affirmé António Guterres.
Pour lui, "le dialogue national offrira une opportunité historique de mettre le Tchad sur la voie de l’ordre constitutionnel et d’une paix durable".
L’ONU continuera d’apporter son appui au peuple tchadien, a promis António Guterres.
Une coalition d'organisations n'ira pas au dialogue et entend manifester
Une coalition d'organisations politiques et de la société civile a annoncé le 9 août qu'elle ne prendra pas part au dialogue national inclusif, à défaut d'inclusivité et de souveraineté.
Il s'agit de Wakit Tamma, le Groupe de réflexion et d'action pour l'appel du 1er juin, le parti Les Démocrates, Une nation pour tous, l'UTPC, la COP, le FNC, Un nouveau jour, le MPUD, le REPEP et la plateforme de la diaspora.
La coalition réitère ses exigences, notamment un comité d'organisation paritaire mais aussi la révision de la charte de transition. Des exigences auxquelles le Conseil militaire de transition ne semble pas prêter oreille.
Pour Pr. Avocksouma Djona, leader du parti Les Démocrates, "il n'y aura pas de place aux débats contradictoires car le système en place cherche à perpétuer la monarchisation du pouvoir".
Des actions de désobéissance civile sont annoncées à partir du 11 août tandis qu'une grande manifestation pourrait avoir lieu le 19 août 2022.
Pour lui, "le dialogue national offrira une opportunité historique de mettre le Tchad sur la voie de l’ordre constitutionnel et d’une paix durable".
L’ONU continuera d’apporter son appui au peuple tchadien, a promis António Guterres.
Une coalition d'organisations n'ira pas au dialogue et entend manifester
Une coalition d'organisations politiques et de la société civile a annoncé le 9 août qu'elle ne prendra pas part au dialogue national inclusif, à défaut d'inclusivité et de souveraineté.
Il s'agit de Wakit Tamma, le Groupe de réflexion et d'action pour l'appel du 1er juin, le parti Les Démocrates, Une nation pour tous, l'UTPC, la COP, le FNC, Un nouveau jour, le MPUD, le REPEP et la plateforme de la diaspora.
La coalition réitère ses exigences, notamment un comité d'organisation paritaire mais aussi la révision de la charte de transition. Des exigences auxquelles le Conseil militaire de transition ne semble pas prêter oreille.
Pour Pr. Avocksouma Djona, leader du parti Les Démocrates, "il n'y aura pas de place aux débats contradictoires car le système en place cherche à perpétuer la monarchisation du pouvoir".
Des actions de désobéissance civile sont annoncées à partir du 11 août tandis qu'une grande manifestation pourrait avoir lieu le 19 août 2022.