Des points de vente de crédit et de transfert d'argent via des réseaux étrangers ont été démantelés, explique Sidick Haroun Ibrahim, chef de service contrôle et trafic à l'ARCEP. Ces pratiques interdites par la loi en vigueur relative à la communication électronique entrainent un désordre et une menace pour les opérateurs locaux qui sont mis en péril ainsi que sur la sécurité, dénonce-t-il.
Tous les autres point de vente seront localisés et démantelés dans les prochains jours. En attendant, Sidick Haroun Ibrahim exhorte tous les réfractaires, vendeurs comme fournisseurs, à stopper cette pratique.
L'ARCEP entend prendre des mesures pour éradiquer rapidement cette situation car les opérateurs étrangers ne sont pas sous son contrôle, ce qui peut poser une menace sérieuse pour la sécurité des biens et des personnes. Un projet technique est en cours pour permettre le blocage des débordements de signaux des opérateurs étrangers. Autrement dit, les signaux externes qui pénètrent à N'Djamena seront bloqués. Un projet similaire est en cours d'étude pour la frontière Tchad-Soudan.
Le Tchad et le Cameroun ont un comité de gestion de fréquence censé gérer cette situation. Pourtant, les opérateurs camerounais ne respectent pas leur engagement.
Tous les autres point de vente seront localisés et démantelés dans les prochains jours. En attendant, Sidick Haroun Ibrahim exhorte tous les réfractaires, vendeurs comme fournisseurs, à stopper cette pratique.
L'ARCEP entend prendre des mesures pour éradiquer rapidement cette situation car les opérateurs étrangers ne sont pas sous son contrôle, ce qui peut poser une menace sérieuse pour la sécurité des biens et des personnes. Un projet technique est en cours pour permettre le blocage des débordements de signaux des opérateurs étrangers. Autrement dit, les signaux externes qui pénètrent à N'Djamena seront bloqués. Un projet similaire est en cours d'étude pour la frontière Tchad-Soudan.
Le Tchad et le Cameroun ont un comité de gestion de fréquence censé gérer cette situation. Pourtant, les opérateurs camerounais ne respectent pas leur engagement.