A l’occasion de la Journée de l'Enfant Africain, l'ONG Urgence Contre la Faim (UCF) a organisé ce mercredi 16 juin 2021, à l'école primaire annexe d'Ardep Djoumal, dans la commune du 3ème arrondissement, la cérémonie marquant la célébration de cette journée. Chaque année, l’on commémore le massacre des enfants de Soweto en 1976 par le régime d'apartheid (Afrique du Sud). L'objectif de cette cérémonie est de mobiliser et de sensibiliser le public, sur l'importance de l'éducation des enfants.
En effet, l’ONG Urgence Contre la Faim, est une structure associative apolitique et à but non lucratif, qui regroupe en son sein, des jeunes dynamiques et volontaires, soucieux d'assurer une alimentation saine pour tous, à travers des formations sur les qualités nutritionnelles des denrées et en agriculture, des sensibilisations en hygiène et assainissement, des appuis en vivres aux populations les plus vulnérables. L'objectif général étant de renforcer la sécurité alimentaire et nutritionnelle des personnes les plus vulnérables.
Le président de l'UCF, Mahamat Alifa Abouna précise que le 16 juin de chaque année, le Tchad, à l'instar de tous les pays de l'Union Africaine célèbre la journée de l'Enfant Africain. « Cette journée est célébrée pour commémorer le massacre des enfants. C'est pourquoi il est très important pour nous de mobiliser et de sensibiliser le public, sur l'importance de l'éducation des enfants. Car les enfants constituent la couche la plus vulnérable en Afrique, particulièrement au Tchad ». Cette couche est faible, car sa protection, son bien-être, sa survie et tous ses droits, ne lui sont pas toujours garantis. Cette situation de dépendance fait que la plupart de leurs droits ne leur sont pas assurés ou sont violés. « Au Tchad, la protection de l'enfance souffre toujours d'une tare qu'il faudra exterminer », dira-t-il.
Dans son mot de remerciement, le directeur de l'école annexe d'Ardep Djoumal, Mahamat Djidda a tenu à remercier cette initiative de sensibilisation de l’UCF, à l'endroit des enfants de son école. Il exhorte les autres organisations chargées de la défense des droits de l'enfant et le gouvernement, à emboîter le pas en faveur des enfants, en assurant leur éducation et leur santé qui sont les deux piliers du développement. La cérémonie a pris fin avec une représentation théâtrale et des danses, organisées par les enfants de ladite école.
En effet, l’ONG Urgence Contre la Faim, est une structure associative apolitique et à but non lucratif, qui regroupe en son sein, des jeunes dynamiques et volontaires, soucieux d'assurer une alimentation saine pour tous, à travers des formations sur les qualités nutritionnelles des denrées et en agriculture, des sensibilisations en hygiène et assainissement, des appuis en vivres aux populations les plus vulnérables. L'objectif général étant de renforcer la sécurité alimentaire et nutritionnelle des personnes les plus vulnérables.
Le président de l'UCF, Mahamat Alifa Abouna précise que le 16 juin de chaque année, le Tchad, à l'instar de tous les pays de l'Union Africaine célèbre la journée de l'Enfant Africain. « Cette journée est célébrée pour commémorer le massacre des enfants. C'est pourquoi il est très important pour nous de mobiliser et de sensibiliser le public, sur l'importance de l'éducation des enfants. Car les enfants constituent la couche la plus vulnérable en Afrique, particulièrement au Tchad ». Cette couche est faible, car sa protection, son bien-être, sa survie et tous ses droits, ne lui sont pas toujours garantis. Cette situation de dépendance fait que la plupart de leurs droits ne leur sont pas assurés ou sont violés. « Au Tchad, la protection de l'enfance souffre toujours d'une tare qu'il faudra exterminer », dira-t-il.
Dans son mot de remerciement, le directeur de l'école annexe d'Ardep Djoumal, Mahamat Djidda a tenu à remercier cette initiative de sensibilisation de l’UCF, à l'endroit des enfants de son école. Il exhorte les autres organisations chargées de la défense des droits de l'enfant et le gouvernement, à emboîter le pas en faveur des enfants, en assurant leur éducation et leur santé qui sont les deux piliers du développement. La cérémonie a pris fin avec une représentation théâtrale et des danses, organisées par les enfants de ladite école.