Au cours de cette séance, le président du Présidium a, sans ambages et sans aucune élégance, hurlé sur les journalistes reporters dans la salle, les sommant de sortir comme des malpropres, constate le secrétaire général de l'UJT, Leubnoudji Tah Nathan.
"Même si la séance devrait être à huis clos, l'intelligence primaire aurait commandé à Gali Gatta Ngothé de le signifier, comme tout homme de son rang, à la presse de se retirer aisément et dignement. Fort malheureusement, tel un homme qui a pété les plombs, le président du Présidium s'est illustré par un comportement digne d'un cleptomane", indique l'UJT.
"Le mépris de Gali Gatta Ngothé pour la presse reflète un grand déni du rôle des journalistes et de la presse tchadienne, dont les pages et les antennes lui ont été consacrées durant toute sa vie politique et plus particulièrement lors de son déboire judiciaire en 2011-2012, relatif à son arrestation en flagrant délit dans l'affaire de braconnage", ajoute l'UJT.
L'UJT rappelle à Gali Gatta Ngothé que "sans les médias, ce dialogue n'aurait aucune résonance, aucun écho et aucune appropriation de la part des tchadiens".
Tout en condamnant avec la plus grande fermeté ce mépris du président du Présidium envers la presse tchadienne, l'UJT exige de Gali Gatta Ngothé des excuses aux journalistes pour ses propos imprudents, sans quoi, l'UJT serait dans l'obligation de demander d'entreprendre des actions pour faire restaurer la dignité de la presse tchadienne.
"Même si la séance devrait être à huis clos, l'intelligence primaire aurait commandé à Gali Gatta Ngothé de le signifier, comme tout homme de son rang, à la presse de se retirer aisément et dignement. Fort malheureusement, tel un homme qui a pété les plombs, le président du Présidium s'est illustré par un comportement digne d'un cleptomane", indique l'UJT.
"Le mépris de Gali Gatta Ngothé pour la presse reflète un grand déni du rôle des journalistes et de la presse tchadienne, dont les pages et les antennes lui ont été consacrées durant toute sa vie politique et plus particulièrement lors de son déboire judiciaire en 2011-2012, relatif à son arrestation en flagrant délit dans l'affaire de braconnage", ajoute l'UJT.
"C'est aussi un double déni du rôle de la presse, notamment écrite, à laquelle il fait constamment recours afin d'avoir une voix et une tribune dans ses batailles politiques, chaque fois que toutes les voies lui sont barrées."
L'UJT rappelle à Gali Gatta Ngothé que "sans les médias, ce dialogue n'aurait aucune résonance, aucun écho et aucune appropriation de la part des tchadiens".
Tout en condamnant avec la plus grande fermeté ce mépris du président du Présidium envers la presse tchadienne, l'UJT exige de Gali Gatta Ngothé des excuses aux journalistes pour ses propos imprudents, sans quoi, l'UJT serait dans l'obligation de demander d'entreprendre des actions pour faire restaurer la dignité de la presse tchadienne.