Le 1er vice-président chargé des relations extérieures de la communication et porte-parole de l'UNDR, Célestin Topona, a dénoncé mercredi une "cabale" contre le président du parti et député Saleh Kebzabo.
"Les oiseaux de mauvaise augure se sont mis tout d'un coup à voler autour du député Saleh Kebzabo. Une institution officielle sensée défendre les droits de l'Homme au Tchad est même utilisée pour lever le lièvre en faveur du ministre de la Justice", dénonce Célestin Topona qui évoque "une position tendancieuse" de la Commission nationale des droits de l'Homme (CNDH).
Le bureau exécutif de l'UNDR s'est réuni en séance extraordinaire le 29 décembre 2020 pour "examiner et analyse ce qu'il qualifie de cabale qui se monte en ce moment contre son président national". Il estime qu'aucun article du Code pénal tchadien n'a été violé par Saleh Kebzabo lorsqu'il a dénoncé l'abandon coupable des populations tchadiennes par le gouvernement dans des affrontements intercommunautaires très sanglants.
Le 22 décembre dernier, Saleh Kebzabo a animé un meeting à Baktchoro dans la province de la Tandjilé. Le ministère de la Justice lui reproche des "propos incendiaires constitutifs de délit d'atteinte à la paix et à la tranquillité". Le ministre Djimet Arabi a adressé le 28 décembre une correspondance au président de l'Assemblée nationale pour la mise en mouvement de l'action publique pour la levée de l'immunité.
Le bureau exécutif de l'UNDR rappelle que Saleh Kebzabo, en tant que député, est dans son droit d'exprimer librement, haut et fort ses opinions, surtout si ces prises de paroles publiques concernent la protection des populations tchadiennes oubliées.
"Les oiseaux de mauvaise augure se sont mis tout d'un coup à voler autour du député Saleh Kebzabo. Une institution officielle sensée défendre les droits de l'Homme au Tchad est même utilisée pour lever le lièvre en faveur du ministre de la Justice", dénonce Célestin Topona qui évoque "une position tendancieuse" de la Commission nationale des droits de l'Homme (CNDH).
Le bureau exécutif de l'UNDR s'est réuni en séance extraordinaire le 29 décembre 2020 pour "examiner et analyse ce qu'il qualifie de cabale qui se monte en ce moment contre son président national". Il estime qu'aucun article du Code pénal tchadien n'a été violé par Saleh Kebzabo lorsqu'il a dénoncé l'abandon coupable des populations tchadiennes par le gouvernement dans des affrontements intercommunautaires très sanglants.
Le 22 décembre dernier, Saleh Kebzabo a animé un meeting à Baktchoro dans la province de la Tandjilé. Le ministère de la Justice lui reproche des "propos incendiaires constitutifs de délit d'atteinte à la paix et à la tranquillité". Le ministre Djimet Arabi a adressé le 28 décembre une correspondance au président de l'Assemblée nationale pour la mise en mouvement de l'action publique pour la levée de l'immunité.
Le bureau exécutif de l'UNDR rappelle que Saleh Kebzabo, en tant que député, est dans son droit d'exprimer librement, haut et fort ses opinions, surtout si ces prises de paroles publiques concernent la protection des populations tchadiennes oubliées.