POINT DE VUE

Tchad: l'aspect du ridicule


Alwihda Info | Par - Җ€BIЯ - - 3 Avril 2008


La bataille qui a eu lieu ces derniers jours n'est que le début d'un long processus vers le changement. Les forces de résistance nationale déploreront toujours tant que des tchadiens tombent par la faute d'un individu. Idriss Déby et ses affidés disparaitront quoi qu'il en coûte le prix de la liberté et celui de la démocratie. C'est qui est toutefois aberrant, c'est le constat d'une notice que certains se livrent à faire, croyant déstabiliser notre vigilance, ou encore induire en erreur l'opinion nationale.


Une épreuve de plus, rater un accrochage ce n'est pas perdre la guerre. Cette illustre phrase a été citée par moult érudits qui au final avaient fini par marquer de leur empreinte les évènements de leur époque. Notre pays va mal, nous n'avons jamais cessé de le dire. Il va mal par la faute d'un essaim qui le suce jusqu'à la lie. Idriss Déby et beaucoup d'hermaphrodite en sont responsables. Il ne s'agit point pour nous de nous répéter, mais d'éclairer une fois de plus notre opinion.

La bataille qui a eu lieu ces derniers jours n'est que le début d'un long processus vers le changement. Les forces de résistance nationale déploreront toujours tant que des tchadiens tombent par la faute d'un individu. Idriss Déby et ses affidés disparaitront quoi qu'il en coûte le prix de la liberté et celui de la démocratie. C'est qui est toutefois aberrant, c'est le constat d'une notice que certains se livrent à faire, croyant déstabiliser notre vigilance, ou encore induire en erreur l'opinion nationale. Il ne suffit pas de se cacher sous un pseudo et raconter des choses qui ne tiennent pas. Les euphoriques du moment sont allé annoncer un bilan macabres et facilement vérifiable. Tous les cadres militaires cités sont bien vivants, aucun blessé parmi eux... Que les familles de ces personnes se rassurent. Ils sont tous joignable sur leurs satéllitaires.

Au moment où l'opinion nationale et internationale cherche la vérité sur le sort du professeur Mahamat Saleh Ibn Oumar, d'autres personnes arraisonnent les sites d'infos, de propagandes et autres lubies propres à leurs desseins. Nous leur donnons rendez-vous dans les jours à venir. Jamais au sein des hommes et femmes qui composent la résistance un sectarisme n'a été établi pour définir certains des autres. Il n'y a pas eu des zouroug ou des bouyoutes, encore moins certains propos qu'un certain milieu à Paris concocte dans les bistros pour en faire trainer à travers leurs agents. Ils sont nombreux ceux qui ont chercher à diviser la résistance à travers leurs sites internet ou encore par les agents de l'ANS connus pour leurs doubles jeux. Mais... comme ils furent aujourd'hui démasqué, demain ils seront amener à rendre des comptes sur ces forfaits. L'union de la résistance empêche beaucoup de dormir, parce que si le changement s'opère, ces individus ne pourront plus piller, et s'enrichir tels des moustiques suçant le sang des tchadiens.

La justice triomphera de la gabégie. Hommage une fois de plus aux forces de résistance nationale et aux vaillantes forces de la liberté.

Une lutte de libération vers la démocratie est un processus de longue haleine. Il ne faut jamais imaginé que les choses se feront facilement. Idriss Déby pille les deniers de l'état pour s'enrichir, corrompre et acheter des armes. Il s'accroche au pouvoir parce qu'il n'a pas d'autres issues pour vivre en paix. Néanmoins rien n'entamera le moral de la résistance, ni l'idéale fixé pour un changement dans notre pays. Les jours à venir seront rudes et difficiles, nous enjamberont monts et vallées, Ouadis et plaines, mais Ce régime s'effacera par la détermination de la résistance et le vœu du bon Dieu.

Nous profitons une fois de plus pour demander la lumière sur le sort de Mahamat Saleh Ibn Oumar, que le régime garde en otage. Que sa famille soit soulagé par tant de mois de souffrance. Que le régime sanguinaire d'Idriss Déby ouvre une plate forme inclusive, seule alternative vers la paix au lieu d'imposer l'exclusion et la guerre.

Le peuple à trop souffert, trop marginalisée. Sa dernière liesse à N'djamèna sera cette fois ci complète.

Vive le Tchad, Vive la résistance Nationale.

ASSILECK HALATA Mahamat

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