Plus de 150 participants ont assisté à la conférence, dont des lycéens d'écoles publiques et privées, des étudiants et des membres d'organisations de la société civile. Selon le journaliste Alako'AS Mandibaye, l'objectif principal de la conférence était de promouvoir l'engagement civique des habitants de Sarh, en particulier pendant la transition politique au Tchad, et de les sensibiliser à l'importance et aux enjeux de l'exercice du droit de vote.
La conférence a été animée par quatre panélistes, dont Riradjim Séraphin, chercheur et doctorant en droit à l'Université de Sarh, qui a salué l'initiative et souligné que le droit de vote est fondamental et indispensable pour que les citoyens puissent exprimer leur volonté en matière politique et sociale.
Le sociologue Laddy Ndoyam Gerald a déclaré que le vote est l'expression d'un choix réfléchi sur la base d'une offre. "Si vous ne votez pas, vous dites aux autres de faire ce qu'ils veulent, et moi je subis", a ajouté Laddy Ndoyam Gerald.
Un autre intervenant, Francky Morna Nouba, secrétaire général du parti politique Action pour la République, la Démocratie et le Développement, a souligné que le Tchad est un pays démocratique et que le seul moyen légitime d'accéder au pouvoir est le vote.
Enfin, Adimadji Otoibe, juriste et défenseur des droits de l'homme, a insisté sur le fait que chaque citoyen éligible devrait prendre des mesures pour participer efficacement au processus électoral et ne pas se contenter d'être un simple participant, mais un citoyen actif exerçant son droit de vote. "Un homme, un vote. Non seulement cela, mais mon vote doit aussi compter, et c'est ce qui est crucial", a ajouté Adimadji Otoibe.
Au cours de la conférence, certains participants ont demandé des éclaircissements sur diverses questions, telles que le manque de transparence des élections, le désintérêt des jeunes pour le vote de nos jours, et la tendance de la plupart des politiciens tchadiens à faire des promesses pendant les campagnes, mais à ne pas les tenir une fois élus. Les panélistes ont répondu en pointant du doigt le manque de démocratie, la perception négative de la citoyenneté, la mauvaise gouvernance, le découragement dû à la présomption de fraude, l'absence d'alternance politique et la méconnaissance des programmes politiques de certains candidats comme étant les principales raisons de ces problèmes.
La conférence a été animée par quatre panélistes, dont Riradjim Séraphin, chercheur et doctorant en droit à l'Université de Sarh, qui a salué l'initiative et souligné que le droit de vote est fondamental et indispensable pour que les citoyens puissent exprimer leur volonté en matière politique et sociale.
Le sociologue Laddy Ndoyam Gerald a déclaré que le vote est l'expression d'un choix réfléchi sur la base d'une offre. "Si vous ne votez pas, vous dites aux autres de faire ce qu'ils veulent, et moi je subis", a ajouté Laddy Ndoyam Gerald.
Un autre intervenant, Francky Morna Nouba, secrétaire général du parti politique Action pour la République, la Démocratie et le Développement, a souligné que le Tchad est un pays démocratique et que le seul moyen légitime d'accéder au pouvoir est le vote.
Enfin, Adimadji Otoibe, juriste et défenseur des droits de l'homme, a insisté sur le fait que chaque citoyen éligible devrait prendre des mesures pour participer efficacement au processus électoral et ne pas se contenter d'être un simple participant, mais un citoyen actif exerçant son droit de vote. "Un homme, un vote. Non seulement cela, mais mon vote doit aussi compter, et c'est ce qui est crucial", a ajouté Adimadji Otoibe.
Au cours de la conférence, certains participants ont demandé des éclaircissements sur diverses questions, telles que le manque de transparence des élections, le désintérêt des jeunes pour le vote de nos jours, et la tendance de la plupart des politiciens tchadiens à faire des promesses pendant les campagnes, mais à ne pas les tenir une fois élus. Les panélistes ont répondu en pointant du doigt le manque de démocratie, la perception négative de la citoyenneté, la mauvaise gouvernance, le découragement dû à la présomption de fraude, l'absence d'alternance politique et la méconnaissance des programmes politiques de certains candidats comme étant les principales raisons de ces problèmes.