Le leader de l'Union nationale pour le développement et le renouveau (UNDR, opposition), Saleh Kepsabo, a décliné l'offre d'entrer au gouvernement du nouveau Premier ministre Youssouf Saleh Abbas, dans un entretien diffusé mercredi sur la radio Africa No. 1.
"Aller au gouvernement ne m'intéresse plus sauf dans le cas où on aboutirait véritablement à un gouvernement d'ouverture, de grand consensus national et que ma présence y est nécessaire", a indiqué Saleh Kebzabo.
"Je suis entré au gouvernement à deux reprises et j'ai pu donné le meilleure de moi-même. Je préfère plutôt qu'un camarade de mon parti aille vivre cette expérience", a déclaré Saleh Kebzabo.
"Animer un parti politique est une expérience enrichissante. C'est cela qui m'intéresse à l'heure actuelle. Je commence déjà à préparer les élections législatives qui vont avoir lieu d'ici un an et demi", a t-il poursuivi.
L'UNDR fait parti des 20 formations politiques que constitue la la coalition des partis pour la défense de la constitution (CPDC). Pour Saleh Kebzabo, l'entrée de la CPDC au gouvernement affaiblira leur mouvement.
Kebzabo, qui a fuit lors des combats de N'Djamena du mois de février et est actuellement de passage à Libreville au Gabon, a annoncé son retour à N'Djamena dans une semaine.
"Je ne suis ni en rébellion, ni en exil, ma place est au Tchad en tant que dirigeant d'un parti politique. Dans une semaine au plu tard je suis à N'Djamena", a-t-il ajouté.
Youssouf Saleh Abbas a été nommé le 17 avril dernier au poste de Premier ministre, par le président tchadien Idriss Deby Itno, pour former un gouvernement d'ouverture en direction des forces de l'opposition.
Samedi dernier, Youssouf Saleh Abbas a déjà rencontré les hauts responsables de la Coalition des partis pour la défense de la constitution (CPDC, opposition).
Mais sa proposition divise depuis le week-end la coalition d'opposition entre les deux camps de pro et contre.
Xinhua
"Aller au gouvernement ne m'intéresse plus sauf dans le cas où on aboutirait véritablement à un gouvernement d'ouverture, de grand consensus national et que ma présence y est nécessaire", a indiqué Saleh Kebzabo.
"Je suis entré au gouvernement à deux reprises et j'ai pu donné le meilleure de moi-même. Je préfère plutôt qu'un camarade de mon parti aille vivre cette expérience", a déclaré Saleh Kebzabo.
"Animer un parti politique est une expérience enrichissante. C'est cela qui m'intéresse à l'heure actuelle. Je commence déjà à préparer les élections législatives qui vont avoir lieu d'ici un an et demi", a t-il poursuivi.
L'UNDR fait parti des 20 formations politiques que constitue la la coalition des partis pour la défense de la constitution (CPDC). Pour Saleh Kebzabo, l'entrée de la CPDC au gouvernement affaiblira leur mouvement.
Kebzabo, qui a fuit lors des combats de N'Djamena du mois de février et est actuellement de passage à Libreville au Gabon, a annoncé son retour à N'Djamena dans une semaine.
"Je ne suis ni en rébellion, ni en exil, ma place est au Tchad en tant que dirigeant d'un parti politique. Dans une semaine au plu tard je suis à N'Djamena", a-t-il ajouté.
Youssouf Saleh Abbas a été nommé le 17 avril dernier au poste de Premier ministre, par le président tchadien Idriss Deby Itno, pour former un gouvernement d'ouverture en direction des forces de l'opposition.
Samedi dernier, Youssouf Saleh Abbas a déjà rencontré les hauts responsables de la Coalition des partis pour la défense de la constitution (CPDC, opposition).
Mais sa proposition divise depuis le week-end la coalition d'opposition entre les deux camps de pro et contre.
Xinhua