La Commission nationale des droits de l'Homme (CNDH) a rendu visite mercredi matin aux détenus mineurs faits prisonniers de guerre et incarcérés à la maison d'arrêt de Klessoum. La presse n’a pas été autorisée à accéder au sein de la prison.
Selon Diane Sabmeka Fofinet, commissaire à la CNDH, la visite a eu pour objectif de voir les prisonniers et de s'enquérir de leurs conditions de détention.
« Ils semblent être tous en bonne condition. Il y a des blessés parmi eux et nous avons dû appeler l'équipe médicale qui est en train de travailler sur place avec eux, mais avec des moyens assez précaires », a relevé la commissaire à la CNDH.
La CNDH entend plaider pour une prise en charge médicale adéquate. « Le Tchad a pris des engagements dans ce sens tant au niveau national qu'international. C’est en vertu de ces textes que nous travaillons », a expliqué Diane Sabmeka Fofinet.
La police judiciaire procède actuellement à des auditions des mineurs au sein de la prison. Les jeunes individus seront ensuite déférés au parquet.
« Ils seront certainement envoyés devant les juridictions pour connaître leur sort. Globalement, ils vont bien. Seulement, ils ont passé des jours dans un lieu assez dur, précisément dans le Sahara. Certains d'entre eux n'ont plus de vêtements. Ils sont torse nue, ils n'ont que les tenues avec lesquelles on les a appréhendés. Nous allons plaider auprès des autorités pour leur fournir des vêtements », a affirmé la commissaire à la CNDH.
Parmi 246 prisonniers remis par l’armée à la justice le 24 avril, l’on compte plus d’une dizaine de mineurs.
Selon Diane Sabmeka Fofinet, commissaire à la CNDH, la visite a eu pour objectif de voir les prisonniers et de s'enquérir de leurs conditions de détention.
« Ils semblent être tous en bonne condition. Il y a des blessés parmi eux et nous avons dû appeler l'équipe médicale qui est en train de travailler sur place avec eux, mais avec des moyens assez précaires », a relevé la commissaire à la CNDH.
La CNDH entend plaider pour une prise en charge médicale adéquate. « Le Tchad a pris des engagements dans ce sens tant au niveau national qu'international. C’est en vertu de ces textes que nous travaillons », a expliqué Diane Sabmeka Fofinet.
La police judiciaire procède actuellement à des auditions des mineurs au sein de la prison. Les jeunes individus seront ensuite déférés au parquet.
« Ils seront certainement envoyés devant les juridictions pour connaître leur sort. Globalement, ils vont bien. Seulement, ils ont passé des jours dans un lieu assez dur, précisément dans le Sahara. Certains d'entre eux n'ont plus de vêtements. Ils sont torse nue, ils n'ont que les tenues avec lesquelles on les a appréhendés. Nous allons plaider auprès des autorités pour leur fournir des vêtements », a affirmé la commissaire à la CNDH.
Parmi 246 prisonniers remis par l’armée à la justice le 24 avril, l’on compte plus d’une dizaine de mineurs.