La Ligue Tchadienne des Droits des Femmes (LTDF) a été alertée par un cas révoltant de viol sur une fillette de 5 ans, perpétré dans le quartier Mandjafa, et porte à la connaissance de l’opinion nationale les faits inqualifiables qui ont suivi, marqués par la négligence et la complicité des forces de l’ordre.
Le vendredi 11 avril 2025, en l’absence de ses parents, une petite fille de 5 ans, a été violée par un boutiquier de la trentaine, nommé Abdel Tidjani. À leur retour, les parents, constatant le comportement inhabituel de leur enfant, l’ont emmenée dans un centre de santé où un examen médical a confirmé le viol. Une plainte a été déposée au commissariat et l’auteur présumé a été arrêté le samedi.
Cependant, alors que les parents étaient à l’hôpital pour des examens complémentaires, l’Officier de Police Judiciaire (OPJ) a contacté la famille pour proposer un "règlement à l’amiable". Devant leur refus catégorique, une évasion organisée a eu lieu, et le suspect reste introuvable à ce jour. La LTDF exige justice et dénonce la complicité des autorités face à cette trahison de la justice.
La LTDF :
1. Condamne avec la plus grande fermeté ce crime barbare et exige que l’auteur soit retrouvé et jugé dans les plus brefs délais. 2. Dénonce l’attitude scandaleuse de l’OPJ, qui, au lieu de protéger la victime, a facilité la fuite du suspect. Une plainte sera déposée contre lui si le présumé violeur n’est pas retrouvé sous 48 heures.
3. Interpelle les plus hautes autorités judiciaires sur l’impunité systémique dans les cas de violences sexuelles, où les victimes sont trop souvent sacrifiées au profit des criminels.
4. Exige des réformes urgentes dans les commissariats pour mettre fin aux pressions sur les victimes et garantir une enquête impartiale.
Par ailleurs, la LTDF réaffirme son soutien indéfectible à la petite. et à sa famille et continuera à suivre l’affaire jusqu’à ce que justice soit rendue. « Nous appelons la société civile, les médias et toutes les personnes éprises de justice à se mobiliser pour que plus jamais un enfant ne soit abandonné par ceux qui sont censés le protéger. La LTDF reste vigilante et déterminée à briser la loi du silence », conclut le communiqué de la LTDF rendu public le 15 avril 2025.
Le vendredi 11 avril 2025, en l’absence de ses parents, une petite fille de 5 ans, a été violée par un boutiquier de la trentaine, nommé Abdel Tidjani. À leur retour, les parents, constatant le comportement inhabituel de leur enfant, l’ont emmenée dans un centre de santé où un examen médical a confirmé le viol. Une plainte a été déposée au commissariat et l’auteur présumé a été arrêté le samedi.
Cependant, alors que les parents étaient à l’hôpital pour des examens complémentaires, l’Officier de Police Judiciaire (OPJ) a contacté la famille pour proposer un "règlement à l’amiable". Devant leur refus catégorique, une évasion organisée a eu lieu, et le suspect reste introuvable à ce jour. La LTDF exige justice et dénonce la complicité des autorités face à cette trahison de la justice.
La LTDF :
1. Condamne avec la plus grande fermeté ce crime barbare et exige que l’auteur soit retrouvé et jugé dans les plus brefs délais. 2. Dénonce l’attitude scandaleuse de l’OPJ, qui, au lieu de protéger la victime, a facilité la fuite du suspect. Une plainte sera déposée contre lui si le présumé violeur n’est pas retrouvé sous 48 heures.
3. Interpelle les plus hautes autorités judiciaires sur l’impunité systémique dans les cas de violences sexuelles, où les victimes sont trop souvent sacrifiées au profit des criminels.
4. Exige des réformes urgentes dans les commissariats pour mettre fin aux pressions sur les victimes et garantir une enquête impartiale.
Par ailleurs, la LTDF réaffirme son soutien indéfectible à la petite. et à sa famille et continuera à suivre l’affaire jusqu’à ce que justice soit rendue. « Nous appelons la société civile, les médias et toutes les personnes éprises de justice à se mobiliser pour que plus jamais un enfant ne soit abandonné par ceux qui sont censés le protéger. La LTDF reste vigilante et déterminée à briser la loi du silence », conclut le communiqué de la LTDF rendu public le 15 avril 2025.