La ville de N'Djamena est bordée par deux fleuves : le Logone qui prend sa source dans l'Adamaoua, et le Chari, qui naît en Centrafrique avant de converger vers le bassin du Lac Tchad. Cette ressource naturelle constitue une opportunité pour les riverains, qui pratiquent la culture potagère et la culture du riz, surtout pendant la période de décrue.
Tout au long des rives du fleuve Chari, de nombreuses personnes s'activent quotidiennement dans des activités agricoles.
Les eaux du fleuve sont une aubaine pour ceux qui cultivent des légumes et des plantes potagères, tels que la laitue, le persil, les poivrons, les concombres, le haricot vert, ainsi que des tubercules. Cette culture maraîchère est destinée à la commercialisation et à l'alimentation familiale.
L’activité génère un bon chiffre d'affaires et attire de plus en plus de personnes, notamment des femmes, des jeunes étudiants, et même des individus qui viennent de loin pour se débrouiller au bord du fleuve. Après plusieurs mois de labeur, ces agriculteurs peuvent enfin récolter les fruits de leur travail.
Selon des témoignages recueillis, certains agriculteurs s'en sortent bien dans ce secteur, surtout après la période de récolte, où certains peuvent gagner jusqu'à 500 000 FCFA, tandis que d'autres se retrouvent avec 200 000 FCFA. « Nous rendons grâce à Dieu, c'est grâce à cette activité que nous parvenons à financer la scolarisation de nos enfants », explique Abdoulaye, un jeune agriculteur habitant le quartier Sabangali, tout près du fleuve.
En somme, étant donné que cette activité agricole est rentable, elle devrait intéresser de plus en plus de jeunes afin de les aider à devenir autonomes, et moins dépendants de leurs parents.
Tout au long des rives du fleuve Chari, de nombreuses personnes s'activent quotidiennement dans des activités agricoles.
Les eaux du fleuve sont une aubaine pour ceux qui cultivent des légumes et des plantes potagères, tels que la laitue, le persil, les poivrons, les concombres, le haricot vert, ainsi que des tubercules. Cette culture maraîchère est destinée à la commercialisation et à l'alimentation familiale.
L’activité génère un bon chiffre d'affaires et attire de plus en plus de personnes, notamment des femmes, des jeunes étudiants, et même des individus qui viennent de loin pour se débrouiller au bord du fleuve. Après plusieurs mois de labeur, ces agriculteurs peuvent enfin récolter les fruits de leur travail.
Selon des témoignages recueillis, certains agriculteurs s'en sortent bien dans ce secteur, surtout après la période de récolte, où certains peuvent gagner jusqu'à 500 000 FCFA, tandis que d'autres se retrouvent avec 200 000 FCFA. « Nous rendons grâce à Dieu, c'est grâce à cette activité que nous parvenons à financer la scolarisation de nos enfants », explique Abdoulaye, un jeune agriculteur habitant le quartier Sabangali, tout près du fleuve.
En somme, étant donné que cette activité agricole est rentable, elle devrait intéresser de plus en plus de jeunes afin de les aider à devenir autonomes, et moins dépendants de leurs parents.