Un paysage au Tchad. © DR
Un atelier de dialogue national du Fonds pour l'environnement mondial (FEM) s'est ouvert ce lundi 25 janvier au Hilton Hotel, à N'Djamena. Les assises, sous la houlette du ministère de l'Environnement, regroupent les acteurs multi-sectoriels provenant des structures étatiques, des ONG et du secteur privé.
L'objectif de l'atelier est de renforcer les échanges inter-acteurs et d'accélérer la mise en oeuvre de solutions favorables à la protection de l'environnement grâce à des financements.
"Dans le cycle du FEM-7 (septième période de travail du FEM, ndlr), il y a trois principaux programmes à impact. Un qui concerne les systèmes alimentaires, l'aménagement du territoire et la restauration des paysages, un sur les villes durables et un sur la gestion durable des forêts", selon Jean-Marc Sinnassamy, représentant du directeur général du FEM.
Le Gouvernement tchadien a fait de la protection de l'environnement un défi, notamment avec un cadre juridique issu de la loi n°14 de 1998.
"L'atelier de dialogue national du FEM qui se veut une démarche participative et inclusive, nous offre ainsi de nouvelles opportunités de formuler des projets prioritaires devant permettre une mobilisation plus importante des ressources afin d'engager des actions vigoureuses en faveur de l'environnement", a relevé le conseiller technique au ministère de l'Environnement, Oualbadet Magomna.
Le Fonds pour l'environnement mondial (FEM) est un instrument financier des conventions climatiques et environnementales des Nations-unies. Cet organisme dispose d'un mécanisme international de co-financement offrant des dons aux pays pour investir dans des projets sur le lien entre agriculture et environnement (changement climatique, biodiversité, dégradation des terres, eaux internationales et produits chimiques).
L'objectif de l'atelier est de renforcer les échanges inter-acteurs et d'accélérer la mise en oeuvre de solutions favorables à la protection de l'environnement grâce à des financements.
"Dans le cycle du FEM-7 (septième période de travail du FEM, ndlr), il y a trois principaux programmes à impact. Un qui concerne les systèmes alimentaires, l'aménagement du territoire et la restauration des paysages, un sur les villes durables et un sur la gestion durable des forêts", selon Jean-Marc Sinnassamy, représentant du directeur général du FEM.
Le Gouvernement tchadien a fait de la protection de l'environnement un défi, notamment avec un cadre juridique issu de la loi n°14 de 1998.
"L'atelier de dialogue national du FEM qui se veut une démarche participative et inclusive, nous offre ainsi de nouvelles opportunités de formuler des projets prioritaires devant permettre une mobilisation plus importante des ressources afin d'engager des actions vigoureuses en faveur de l'environnement", a relevé le conseiller technique au ministère de l'Environnement, Oualbadet Magomna.
Le Fonds pour l'environnement mondial (FEM) est un instrument financier des conventions climatiques et environnementales des Nations-unies. Cet organisme dispose d'un mécanisme international de co-financement offrant des dons aux pays pour investir dans des projets sur le lien entre agriculture et environnement (changement climatique, biodiversité, dégradation des terres, eaux internationales et produits chimiques).