Kélo, ou Bargadjé, était autrefois connu pour son calme, sa quiétude et sa paix. Il n'y a pas si longtemps, personne ne se faisait de souci pour ses biens. La plupart des maisons n'étaient pas clôturées, et les véhicules comme les vélos, les porte-tout et les motos étaient laissés dans la cour jusqu'au matin. Les rares cas de vol se limitaient aux ustensiles de cuisine, aux poules, aux canards ou, au pire, aux cabris.
Mais depuis quelques années, surtout en saison des pluies, les cas de vol ont commencé à se multiplier. On recense désormais des motos volées, des effets personnels comme des tapis, des nattes, des ustensiles de cuisine emportés, ou encore des objets précieux comme l'or et l'argent. Ces voleurs n'agissent pas seuls. Il est légitime de se demander qui informe ces délinquants ? La réponse est claire : les complices de ces voleurs se trouvent parmi nous, dans le même quartier. C'est le moment de dénoncer toute personne suspecte qui s'installe dans le quartier afin d'aider les forces de l'ordre à mettre la main sur ces délinquants qui nous empêchent de dormir paisiblement. La population doit également éviter d'héberger des inconnus et dénoncer toute personne qui loge des individus dont le comportement ne nous inspire pas confiance. En agissant ainsi, nous pourrons freiner cette recrudescence des vols dans notre paisible ville.
Un autre point à soulever concerne les détenus de la maison d'arrêt venus d'ailleurs pour purger leur peine. Une fois libérés, il arrive que ces individus ne soient pas renvoyés dans leurs localités d'origine et finissent par errer à Kélo, où ils pourraient être tentés de commettre d'autres actes répréhensibles. La justice doit revoir sa manière de procéder pour éviter que ces anciens délinquants ne soient laissés à Kélo, où ils pourraient orchestrer d'autres crimes.
Du côté de la police, il serait souhaitable de renforcer les patrouilles dans les zones périphériques ainsi que dans les quartiers du centre-ville pour dissuader ces voleurs.
La seule manière vraiment efficace de lutter contre cette criminalité repose sur la collaboration de la population avec les forces de l'ordre, en dénonçant toute personne suspecte. Souhaitons vivement que Kélo retrouve sa quiétude d'antan, où il faisait bon vivre !
Mais depuis quelques années, surtout en saison des pluies, les cas de vol ont commencé à se multiplier. On recense désormais des motos volées, des effets personnels comme des tapis, des nattes, des ustensiles de cuisine emportés, ou encore des objets précieux comme l'or et l'argent. Ces voleurs n'agissent pas seuls. Il est légitime de se demander qui informe ces délinquants ? La réponse est claire : les complices de ces voleurs se trouvent parmi nous, dans le même quartier. C'est le moment de dénoncer toute personne suspecte qui s'installe dans le quartier afin d'aider les forces de l'ordre à mettre la main sur ces délinquants qui nous empêchent de dormir paisiblement. La population doit également éviter d'héberger des inconnus et dénoncer toute personne qui loge des individus dont le comportement ne nous inspire pas confiance. En agissant ainsi, nous pourrons freiner cette recrudescence des vols dans notre paisible ville.
Un autre point à soulever concerne les détenus de la maison d'arrêt venus d'ailleurs pour purger leur peine. Une fois libérés, il arrive que ces individus ne soient pas renvoyés dans leurs localités d'origine et finissent par errer à Kélo, où ils pourraient être tentés de commettre d'autres actes répréhensibles. La justice doit revoir sa manière de procéder pour éviter que ces anciens délinquants ne soient laissés à Kélo, où ils pourraient orchestrer d'autres crimes.
Du côté de la police, il serait souhaitable de renforcer les patrouilles dans les zones périphériques ainsi que dans les quartiers du centre-ville pour dissuader ces voleurs.
La seule manière vraiment efficace de lutter contre cette criminalité repose sur la collaboration de la population avec les forces de l'ordre, en dénonçant toute personne suspecte. Souhaitons vivement que Kélo retrouve sa quiétude d'antan, où il faisait bon vivre !