Dans son discours, M. Abdramane a souligné les actions malveillantes de certaines personnes qui viennent discréditer les efforts du gouvernement d'union nationale et remettent en question les clauses de l'Accord de paix signé entre le gouvernement et le comité d'autodéfense de Miski.
Il a également mentionné que N'Djamena, la capitale, se classe parmi les cinq premières villes au monde où la vie est extrêmement chère en raison de l'augmentation des prix des denrées alimentaires sur les marchés de la ville et de la campagne.
Le CAJPDET a également abordé le problème des coupures intempestives d'électricité qui ont affecté N'Djamena et certaines provinces, en particulier pendant la période de canicule. Les coupures sont attribuées à la mauvaise gestion de la Société nationale d'électricité (SNE), qui est responsable de l'exploitation et de la distribution de l'électricité.
L'organisation a également abordé la question de l'accaparement des terres, en particulier le cas du Marché de Dembé dans la commune du 7ème Arrondissement municipal de N'Djamena. La justice a demandé à la Mairie centrale de N'Djamena de restituer ces terres aux véritables propriétaires, mais cette dernière persiste dans sa décision d'attribuer ces terres à des personnes qui n'ont jamais été reconnues comme commerçants.
Le CAJPDET a appelé les autorités de la transition à s'impliquer dans cette affaire pour que les commerçants puissent retrouver leurs droits.
Il a également mentionné que N'Djamena, la capitale, se classe parmi les cinq premières villes au monde où la vie est extrêmement chère en raison de l'augmentation des prix des denrées alimentaires sur les marchés de la ville et de la campagne.
Le CAJPDET a également abordé le problème des coupures intempestives d'électricité qui ont affecté N'Djamena et certaines provinces, en particulier pendant la période de canicule. Les coupures sont attribuées à la mauvaise gestion de la Société nationale d'électricité (SNE), qui est responsable de l'exploitation et de la distribution de l'électricité.
L'organisation a également abordé la question de l'accaparement des terres, en particulier le cas du Marché de Dembé dans la commune du 7ème Arrondissement municipal de N'Djamena. La justice a demandé à la Mairie centrale de N'Djamena de restituer ces terres aux véritables propriétaires, mais cette dernière persiste dans sa décision d'attribuer ces terres à des personnes qui n'ont jamais été reconnues comme commerçants.
Le CAJPDET a appelé les autorités de la transition à s'impliquer dans cette affaire pour que les commerçants puissent retrouver leurs droits.