N'Djamena - Une délégation du Centre d'études pour le développement et la prévention de l'extrémisme (CEDPE) a remis officiellement jeudi à la ministre de la Femme et de la Protection de la petite enfance, Amina Priscille Longoh, une importante base de données sur les désengagés de Boko Haram.
En remettant la base de données à la ministre de la Femme et de la Protection de la petite enfance, le CEDPE explique avoir respecté les termes de la convention signée avec l'Organisation internationale des migrations (OIM).
"Nous souhaitons que le ministère puisse sécuriser et exploiter cette base de données d'environ 16.000 pages concernant environ 2500 désengagés de Boko Haram", explique Dr. Ahmat Yacoub, président du CEDPE.
En remettant la base de données à la ministre de la Femme et de la Protection de la petite enfance, le CEDPE explique avoir respecté les termes de la convention signée avec l'Organisation internationale des migrations (OIM).
"Nous souhaitons que le ministère puisse sécuriser et exploiter cette base de données d'environ 16.000 pages concernant environ 2500 désengagés de Boko Haram", explique Dr. Ahmat Yacoub, président du CEDPE.
"La base de données contient des informations importantes susceptibles de faciliter la réinsertion socioprofessionnelle des anciens associés à Boko Haram", précise-t-il.
Le CEDPE informe que l'étude se poursuivra pour comprendre les aspects sociologiques de la bifurcation de ces gens dans l'extrémisme et les raisons de leur désengagement.
Le CEDPE avec d'autres partenaires étudient actuellement d'autres projets de réinsertion et compte travailler davantage avec les ministères de la Femme et de la Santé publique.
Le CEDPE informe que l'étude se poursuivra pour comprendre les aspects sociologiques de la bifurcation de ces gens dans l'extrémisme et les raisons de leur désengagement.
Le CEDPE avec d'autres partenaires étudient actuellement d'autres projets de réinsertion et compte travailler davantage avec les ministères de la Femme et de la Santé publique.