Le fondateur du CEFOP, Pr. Mahamat Seid Ali, explique que pour pouvoir généralement accéder à l'enseignement supérieur, il faut être titulaire d'un baccalauréat. Cependant, aujourd'hui, nous sommes dans un autre monde où l'on n'a pas besoin forcément de ce diplôme pour accéder à une vie socio-professionnelle. Il indique que dans les grands pays, avoir un gros diplôme n'est pas synonyme d'emploi mais qu'on a toujours besoin d'une certaine formation professionnelle et de qualité pour intégrer une entreprise.
"Ce qui nous a motivé à créer ce centre est que les personnes qui n'ont pas pu accéder à l'enseignement supérieur puissent être formées dans notre établissement afin de mieux s'intégrer dans le milieu socio-professionnel", précise Pr. Mahamat Seid Ali.
Le CEFOP regroupe le centre universitaire des sciences techniques pour le développement et des complexes scolaires au niveau des 7ème, 8ème et 10ème arrondissements. À cela s'ajoute un établissement d'enseignement technique et professionnel. Ce centre regroupe en tout cinq institutions.
"Le Tchad est un pays où il y a un nombre important de chômeurs. Cela est aussi dû en partie au fait que les gens ne sont pas formés davantage dans le métier où ils doivent exercer, raison pour laquelle la création de ce centre a pour mobile la formation des élites techniquement compétentes", détaille Pr. Mahamat Seid Ali.
Pour le représentant du maire de la ville de N'Djamena, cette initiative louable doit servir d'exemple à d'autres cadres du pays à faire pareille, afin de renforcer le secteur éducatif.
"Ce qui nous a motivé à créer ce centre est que les personnes qui n'ont pas pu accéder à l'enseignement supérieur puissent être formées dans notre établissement afin de mieux s'intégrer dans le milieu socio-professionnel", précise Pr. Mahamat Seid Ali.
Le CEFOP regroupe le centre universitaire des sciences techniques pour le développement et des complexes scolaires au niveau des 7ème, 8ème et 10ème arrondissements. À cela s'ajoute un établissement d'enseignement technique et professionnel. Ce centre regroupe en tout cinq institutions.
"Le Tchad est un pays où il y a un nombre important de chômeurs. Cela est aussi dû en partie au fait que les gens ne sont pas formés davantage dans le métier où ils doivent exercer, raison pour laquelle la création de ce centre a pour mobile la formation des élites techniquement compétentes", détaille Pr. Mahamat Seid Ali.
Pour le représentant du maire de la ville de N'Djamena, cette initiative louable doit servir d'exemple à d'autres cadres du pays à faire pareille, afin de renforcer le secteur éducatif.