Hassan Khalla Yaya, participant au dialogue national, souligne que certains arguments avancés au dialogue national "ne tiennent pas la route" ; il rappelle que "normalement, après le décès du Président de la République, c'est le Président de l’Assemblée nationale qui doit prendre le relai afin d'assurer l'intérim".
Il ajoute que "les membres du Conseil militaire de transition n'ont pas eu à consulter les autres membres de l’Assemblée nationale. Si le premier n'est pas d'accord, on peut aller vers les autres pour demander leur avis. S'ils ne l'ont pas fait, c’est un coup d'État constitutionnel".
Ainsi, les dirigeants de la transition "ne doivent pas se présenter et être éligibles" aux prochaines élections, selon Hassan Khalla Yaya.
Il ajoute que "les membres du Conseil militaire de transition n'ont pas eu à consulter les autres membres de l’Assemblée nationale. Si le premier n'est pas d'accord, on peut aller vers les autres pour demander leur avis. S'ils ne l'ont pas fait, c’est un coup d'État constitutionnel".
Ainsi, les dirigeants de la transition "ne doivent pas se présenter et être éligibles" aux prochaines élections, selon Hassan Khalla Yaya.