À l'entame de la plénière, l'idée d'une "motion de soutien" au projet de Constitution a été proposée et a suscité des échanges entre les conseillers nationaux.
"Il ne faut pas qu'il y ait une confusion de rôle", a indiqué le conseiller national Brice Mbaïmon.
"Aujourd'hui, c'est un grand jour pour la nation tchadienne", a souligné le conseiller national Ahmat Bedeï.
"Je peux vous rassurer que la motion ne va pas nous détourner du débat. Après l'ouverture de la discussion générale, vous aurez 48 heures pour débattre. Ce n'est pas la motion qui va vous empêcher de débattre", a clarifié Dr. Haroun Kabadi.
À l'issue de son adoption, le projet de Constitution sera soumis au référendum.
"Il ne faut pas qu'il y ait une confusion de rôle", a indiqué le conseiller national Brice Mbaïmon.
"Aujourd'hui, c'est un grand jour pour la nation tchadienne", a souligné le conseiller national Ahmat Bedeï.
"Je peux vous rassurer que la motion ne va pas nous détourner du débat. Après l'ouverture de la discussion générale, vous aurez 48 heures pour débattre. Ce n'est pas la motion qui va vous empêcher de débattre", a clarifié Dr. Haroun Kabadi.
À l'issue de son adoption, le projet de Constitution sera soumis au référendum.