Lors de cette conférence, le secrétaire général, Mahamat Nour Abakar, a vivement dénoncé l'état catastrophique des routes tchadiennes, notamment la présence de multiples "Ponts bascules" de pesages fixes et mobiles à l'intérieur du pays. Il a attiré l'attention des plus hautes autorités tchadiennes sur des pratiques peu orthodoxes et non patriotiques observées trop fréquemment sur les routes empruntées quotidiennement pour approvisionner le pays.
Mahamat Nour Abakar a souligné que des cargaisons de marchandises transportées par des camions tchadiens, pesées sur des Ponts-Bascules camerounais, sont certifiées "Surcharge Zéro" le long des routes du Cameroun. Cependant, une fois sur les routes tchadiennes, ces mêmes cargaisons sont soumises à des "surcharges inexpliquées" selon des lectures variables des "Ponts Bascules Bizarres", entraînant des frais supplémentaires injustifiés pour les opérateurs économiques.
Le secrétaire général du CONITE a déploré ces pratiques illégales de surfacturation pernicieuse qui impactent les recettes de l'État et alourdissent les coûts pour les opérateurs économiques. Il a averti que de telles pratiques pourraient entraîner des pénuries et des augmentations des prix de vie, particulièrement préoccupantes avec l'afflux de réfugiés au Tchad.
Face à ces problèmes, le CONITE, en collaboration avec des socioprofessionnels, a décidé d'agir en attirant l'attention de l'opinion nationale et des plus hautes autorités de Transition sur ces surfacturations étranges et les tracasseries routières. Ils appellent solennellement les ministères des Infrastructures et de Désenclavements, des Transports et de la Sécurité publique à prendre leurs responsabilités pour éradiquer ces pratiques et garantir des routes d'importation et d'exportation plus transparentes au Tchad.
Mahamat Nour Abakar a souligné que des cargaisons de marchandises transportées par des camions tchadiens, pesées sur des Ponts-Bascules camerounais, sont certifiées "Surcharge Zéro" le long des routes du Cameroun. Cependant, une fois sur les routes tchadiennes, ces mêmes cargaisons sont soumises à des "surcharges inexpliquées" selon des lectures variables des "Ponts Bascules Bizarres", entraînant des frais supplémentaires injustifiés pour les opérateurs économiques.
Le secrétaire général du CONITE a déploré ces pratiques illégales de surfacturation pernicieuse qui impactent les recettes de l'État et alourdissent les coûts pour les opérateurs économiques. Il a averti que de telles pratiques pourraient entraîner des pénuries et des augmentations des prix de vie, particulièrement préoccupantes avec l'afflux de réfugiés au Tchad.
Face à ces problèmes, le CONITE, en collaboration avec des socioprofessionnels, a décidé d'agir en attirant l'attention de l'opinion nationale et des plus hautes autorités de Transition sur ces surfacturations étranges et les tracasseries routières. Ils appellent solennellement les ministères des Infrastructures et de Désenclavements, des Transports et de la Sécurité publique à prendre leurs responsabilités pour éradiquer ces pratiques et garantir des routes d'importation et d'exportation plus transparentes au Tchad.