Le 14 mars 2025, Dr Moussa Kalli, le président du Syndicat des Médecins du Tchad (SYMET), a organisé un point de presse pour faire part des raisons qui ont conduit à la grève des médecins, qui s'est tenue du 10 au 13 mars 2025 sur l'ensemble du territoire national, avec un service minimum assuré.
Lors de cette conférence, le Dr Kalli a expliqué que cette grève était motivée par des revendications légitimes et essentielles, pour l'amélioration des conditions de travail des médecins et du système de santé au Tchad.
Il a précisé que le SYMET avait formulé trois demandes principales auprès des autorités : l'octroi d'un statut particulier pour les médecins, le paiement des arriérés de primes, et l'intégration des médecins en chômage.
Le président du SYMET a notamment souligné que la question du statut particulier des médecins n’a reçu aucune réponse satisfaisante de la part des autorités rencontrées jusqu’à présent.
Face à cette situation, le Syndicat appelle le gouvernement à prendre des mesures immédiates pour répondre à ces revendications cruciales. En outre, il a insisté sur l'importance de l'engagement personnel du président de la République, pour résoudre ce problème, notamment la question du statut des médecins.
Enfin, dans un esprit de dialogue, le Syndicat a exprimé sa volonté d’ouvrir une discussion avec les autorités, dans l’intérêt des patients, de la dignité de la profession médicale, et pour l’avenir de la santé au Tchad.
Lors de cette conférence, le Dr Kalli a expliqué que cette grève était motivée par des revendications légitimes et essentielles, pour l'amélioration des conditions de travail des médecins et du système de santé au Tchad.
Il a précisé que le SYMET avait formulé trois demandes principales auprès des autorités : l'octroi d'un statut particulier pour les médecins, le paiement des arriérés de primes, et l'intégration des médecins en chômage.
Le président du SYMET a notamment souligné que la question du statut particulier des médecins n’a reçu aucune réponse satisfaisante de la part des autorités rencontrées jusqu’à présent.
Face à cette situation, le Syndicat appelle le gouvernement à prendre des mesures immédiates pour répondre à ces revendications cruciales. En outre, il a insisté sur l'importance de l'engagement personnel du président de la République, pour résoudre ce problème, notamment la question du statut des médecins.
Enfin, dans un esprit de dialogue, le Syndicat a exprimé sa volonté d’ouvrir une discussion avec les autorités, dans l’intérêt des patients, de la dignité de la profession médicale, et pour l’avenir de la santé au Tchad.