Le Syndicat national des enseignants et chercheurs du supérieur (SYNECS) a fait une déclaration ce samedi 1er mai à l'occasion de la fête du travail. Le président du bureau exécutif national, Dr. Guirayo Jérémie, a demandé aux autorités compétentes de tenir leurs promesses et de régulariser certaines situations qui minent le système éducatif.
À ce jour du 1er mai, les institutions du supérieur accusent entre deux à trois mois d'arriérés de primes et d'indemnités. Certains personnels contractuels reversés à la solde n'ont pas de salaire depuis quatre mois alors que le processus de reversement est budgétisé. D'autres n'ont pas reçu leur numéro de matricule solde. Le SYNECS demande la régularisation de cette situation avec rappel de salaire au personnel concerné.
Le titre de transport, objet de revendication de la plateforme syndicale revendicative, n'a pas été effectif en ce mois d'avril. En outre, le SYNECS exige l'effectivité des effets financiers des avancements et titularisation.
À ce jour du 1er mai, les institutions du supérieur accusent entre deux à trois mois d'arriérés de primes et d'indemnités. Certains personnels contractuels reversés à la solde n'ont pas de salaire depuis quatre mois alors que le processus de reversement est budgétisé. D'autres n'ont pas reçu leur numéro de matricule solde. Le SYNECS demande la régularisation de cette situation avec rappel de salaire au personnel concerné.
Le titre de transport, objet de revendication de la plateforme syndicale revendicative, n'a pas été effectif en ce mois d'avril. En outre, le SYNECS exige l'effectivité des effets financiers des avancements et titularisation.
Le SYNECS demande au Premier ministre de se préparer à rembourser ce qu'il a coupé en 2016, étant l'auteur des 16 mesures.
Le projet de décret sur le minima horaire abrogeant l'arrêt n° 327 traine depuis plusieurs mois dans les tiroirs du secrétariat général du gouvernement. Le SYNECS exige sa signature dans un bref délai, afin d'éviter toute perturbation de l'année académique en cours.
Le Syndicat attire l'attention des autorités sur le paiement des heures supplémentaires, des frais de vacation et d'encadrement.
Le projet de décret sur le minima horaire abrogeant l'arrêt n° 327 traine depuis plusieurs mois dans les tiroirs du secrétariat général du gouvernement. Le SYNECS exige sa signature dans un bref délai, afin d'éviter toute perturbation de l'année académique en cours.
Le Syndicat attire l'attention des autorités sur le paiement des heures supplémentaires, des frais de vacation et d'encadrement.