Le Collectif se dit extrêmement inquiet par ces conditions de traitements dont ces 72 militants du Parti Les Transformateurs font I‘objet. « En effet, nous avons appris avec regret et consternation que 78 militants qui faisaient du footing le dimanche le 08 Octobre 2023, ont été arbitrairement arrêtés par les forces de I ‘ordre et gardés à vue dans les locaux des renseignements généraux, dans des conditions inhumaines et absolument cruelles, en violation totale des règles relatives aux conditions et délai de garde à vue », déplore le porte-parole du collectif des avocats Allata Ndordji.
Et de préciser qu’alors que la loi accorde aux avocats un droit de visite et de communication systématique de leurs clients en détention préventive, ni le collectif, ni les parents ont accès à ces militants pour leur rendre visite ou même leur apporter de la nourriture. Les repas présentés par les parents et amis des détenus sont systématiquement rejetés. Toutes les démarches entreprises par le collectif des avocats ont été vaines.
Le collectif des avocats affirme avoir constaté avec amertume que jusqu'à ce jour aucun officiel, ni aucune autorité de la transition, ne soit prononcé sur la situation inquiétante et alarmante de ces jeunes qui se meurent dans les locaux des RG. Et pourtant, ces mêmes autorités ont placé cette phase de transition au Tchad, sous le slogan retentissant et bienveillant « d'union nationale » pour faire respecter les droits et devoirs des citoyens tchadiens.
« Nous rappelons à l'attention des autorités tchadiennes, que ces faits extrêmement graves que rien ne peut justifier dans un Etat dit de droit, sont perpétrés en violation flagrante des instruments juridiques nationaux et supranationaux que le Tchad a ratifiés, notamment le code pénal tchadiens , les conventions de Genève du 12 août 1949 et la convention contre la torture du 10 décembre 1984 etc », prévient le porte-parole du collectif des avocats des Transformateurs, Allata Ndordji.
Le porte-parole du collectif des avocats des militants de Transformateurs, Allata Ndordji exige que ces jeunes du parti politique «Les Transformateurs » soient purement et simplement relâchés compte tenu du large dépassement du délai légal de garde à vue. Tout en informant l'opinion nationale et internationale de ces faits d'une gravité extrême, le collectif interpelle respectueusement les partenaires diplomatiques et politiques du Tchad à l'effet d'amener les autorités de transition à respecter leurs engagements pris en faveur de I ‘Etat de droit.
Et de préciser qu’alors que la loi accorde aux avocats un droit de visite et de communication systématique de leurs clients en détention préventive, ni le collectif, ni les parents ont accès à ces militants pour leur rendre visite ou même leur apporter de la nourriture. Les repas présentés par les parents et amis des détenus sont systématiquement rejetés. Toutes les démarches entreprises par le collectif des avocats ont été vaines.
Le collectif des avocats affirme avoir constaté avec amertume que jusqu'à ce jour aucun officiel, ni aucune autorité de la transition, ne soit prononcé sur la situation inquiétante et alarmante de ces jeunes qui se meurent dans les locaux des RG. Et pourtant, ces mêmes autorités ont placé cette phase de transition au Tchad, sous le slogan retentissant et bienveillant « d'union nationale » pour faire respecter les droits et devoirs des citoyens tchadiens.
« Nous rappelons à l'attention des autorités tchadiennes, que ces faits extrêmement graves que rien ne peut justifier dans un Etat dit de droit, sont perpétrés en violation flagrante des instruments juridiques nationaux et supranationaux que le Tchad a ratifiés, notamment le code pénal tchadiens , les conventions de Genève du 12 août 1949 et la convention contre la torture du 10 décembre 1984 etc », prévient le porte-parole du collectif des avocats des Transformateurs, Allata Ndordji.
Le porte-parole du collectif des avocats des militants de Transformateurs, Allata Ndordji exige que ces jeunes du parti politique «Les Transformateurs » soient purement et simplement relâchés compte tenu du large dépassement du délai légal de garde à vue. Tout en informant l'opinion nationale et internationale de ces faits d'une gravité extrême, le collectif interpelle respectueusement les partenaires diplomatiques et politiques du Tchad à l'effet d'amener les autorités de transition à respecter leurs engagements pris en faveur de I ‘Etat de droit.