Le porte-parole du collectif des membres des démembrements non permanents de l'Agence Nationale de Gestion de l’Environnement (ANGE), Ahmat Boulama Achamane, a tenu un point de presse ce mercredi 16 avril 2025. Il a annoncé que si leurs revendications ne sont pas prises en compte, des manifestations seront organisées toutes les 72 heures.
Après avoir constaté un manque de réponse de la part de l’ANGE, les agents non permanents, par la voix de leur porte-parole, ont indiqué avoir déposé des requêtes réclamant le paiement de leurs indemnités, respectivement les 10 février et 12 mars 2025. Malgré plusieurs démarches entreprises, Ahmat Boulama Achamane a déclaré que le collectif a décidé de recourir à une nouvelle forme de revendication.
Des correspondances ont ainsi été adressées aux plus hautes autorités du pays, notamment à la Présidence, à la Primature, à la Médiature, ainsi qu’aux ministères de la Sécurité, de la Justice et de l’Aménagement du territoire, entre autres.
Face à cette situation, le collectif dénonce ce qu’il qualifie de « silence complice » des institutions saisies, et lance un appel au président de la République, par l’intermédiaire des médias, afin qu’il intervienne en faveur de leur cause. Dans le cas où aucune réponse satisfaisante ne leur serait accordée, le collectif se dit prêt à passer à la vitesse supérieure. Il envisage d’alerter ses partenaires nationaux et internationaux, sur la réalité vécue sur le terrain.
Il prévient également que l’ANGE sera tenue pour responsable des conséquences qui pourraient découler de cette situation. Dans cette optique, des manifestations pacifiques seront organisées, dans le strict respect de la loi, à un rythme de toutes les 72 heures.
Après avoir constaté un manque de réponse de la part de l’ANGE, les agents non permanents, par la voix de leur porte-parole, ont indiqué avoir déposé des requêtes réclamant le paiement de leurs indemnités, respectivement les 10 février et 12 mars 2025. Malgré plusieurs démarches entreprises, Ahmat Boulama Achamane a déclaré que le collectif a décidé de recourir à une nouvelle forme de revendication.
Des correspondances ont ainsi été adressées aux plus hautes autorités du pays, notamment à la Présidence, à la Primature, à la Médiature, ainsi qu’aux ministères de la Sécurité, de la Justice et de l’Aménagement du territoire, entre autres.
Face à cette situation, le collectif dénonce ce qu’il qualifie de « silence complice » des institutions saisies, et lance un appel au président de la République, par l’intermédiaire des médias, afin qu’il intervienne en faveur de leur cause. Dans le cas où aucune réponse satisfaisante ne leur serait accordée, le collectif se dit prêt à passer à la vitesse supérieure. Il envisage d’alerter ses partenaires nationaux et internationaux, sur la réalité vécue sur le terrain.
Il prévient également que l’ANGE sera tenue pour responsable des conséquences qui pourraient découler de cette situation. Dans cette optique, des manifestations pacifiques seront organisées, dans le strict respect de la loi, à un rythme de toutes les 72 heures.