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Deux journalistes tchadiens ont présenté ce mercredi 8 mai à l'Ambassade des Etats-Unis d'Amérique à N'Djamena, la restitution de leur participation à l’atelier sur le journalisme d’investigation dans le contexte du Sahel. L'atelier a eu lieu du 18 au 22 mars 2019 à Ouagadougou, capitale du Burkina Faso.
Les deux journalistes, Mme. Néloumta Mélodie de la radio fm Liberté de N’Djaména et M. Djimet Wiché directeur de Publication du journal en ligne Alwihda Info, ont animé conjointement une conférence de presse dans la salle de réunion de l’Ambassade.
"Le « journaliste d’investigation » est né aux Etats-Unis trente ans après avant de faire son expansion en France et dans le reste du monde. Un journaliste d’investigation a besoin beaucoup de temps et de moyens pour faire son travail afin de recouper, vérifier et publier un article qui pourra apporter une révélation fracassante, pour enfin amener le changement ou le bouleversement dans une société donnée", a expliqué Mme. Néloumta.
D'après elle, « le journaliste d’investigation est différent des autres genres journalistiques, car il faut avoir une série des techniques de collectes d’informations, la méthodologie et de l’approche, la règle et la technique ainsi il faut avoir l’esprit de neutralité pour faire un travail d’investigation sans avoir le problème avec la justice ». Elle a relevé qu'il est "difficile de faire un travail d’investigation dans un pays comme le Tchad car l’accès à l’informations est rare voire indisponible."
M. Djimet Wiché a souligné que pour être un bon journaliste, il faut respecter la règle de trois « PPP » qui est la procédure de collecte, la probité et le professionnalisme, condition préalable à chaque journaliste désirant se spécialiser dans le domaine du journaliste d’investigation.
Pour les deux conférenciers, au Tchad, la précarité des médias et des journalistes eux-mêmes ne permet pas de faire un travail d’investigation de qualité.
Le chargé d’affaires de l’ambassade des USA, M. Richard Bell a réaffirmé l’engagement du gouvernement américain « à œuvrer sans relâche, à tous les niveaux, pour faire progresser la presse ».
Les deux journalistes, Mme. Néloumta Mélodie de la radio fm Liberté de N’Djaména et M. Djimet Wiché directeur de Publication du journal en ligne Alwihda Info, ont animé conjointement une conférence de presse dans la salle de réunion de l’Ambassade.
"Le « journaliste d’investigation » est né aux Etats-Unis trente ans après avant de faire son expansion en France et dans le reste du monde. Un journaliste d’investigation a besoin beaucoup de temps et de moyens pour faire son travail afin de recouper, vérifier et publier un article qui pourra apporter une révélation fracassante, pour enfin amener le changement ou le bouleversement dans une société donnée", a expliqué Mme. Néloumta.
D'après elle, « le journaliste d’investigation est différent des autres genres journalistiques, car il faut avoir une série des techniques de collectes d’informations, la méthodologie et de l’approche, la règle et la technique ainsi il faut avoir l’esprit de neutralité pour faire un travail d’investigation sans avoir le problème avec la justice ». Elle a relevé qu'il est "difficile de faire un travail d’investigation dans un pays comme le Tchad car l’accès à l’informations est rare voire indisponible."
M. Djimet Wiché a souligné que pour être un bon journaliste, il faut respecter la règle de trois « PPP » qui est la procédure de collecte, la probité et le professionnalisme, condition préalable à chaque journaliste désirant se spécialiser dans le domaine du journaliste d’investigation.
Pour les deux conférenciers, au Tchad, la précarité des médias et des journalistes eux-mêmes ne permet pas de faire un travail d’investigation de qualité.
Le chargé d’affaires de l’ambassade des USA, M. Richard Bell a réaffirmé l’engagement du gouvernement américain « à œuvrer sans relâche, à tous les niveaux, pour faire progresser la presse ».