Tchad : le journaliste Martin Inoua Doulguet acquitté par la justice. © DR
La Cour d'appel de N'Djamena a annulé mardi la décision de justice de première instance condamnant le journaliste et directeur du Journal Salam Infos, Martin Inoua Doulguet.
Martin Inoua qui a bénéficié d'une mise en liberté provisoire il y a deux semaines, s'est réjouit de cette décision de la Cour d'appel de N'Djamena. Il a fait part d'une victoire pour la presse.
Le journaliste a passé près de huit mois en prison. Il était poursuivi pour des accusations de diffamation, association de malfaiteurs informatiques et dénonciation calomnieuse.
Cet décision intervient deux jours après la commémoration de l'édition 2020 de la Journée mondiale de la liberté de la presse.
L’édition 2020 du Classement mondial de la liberté de la presse établi par Reporters sans frontières (RSF) place le Tchad à la 123ème place, soit un recul d'une place par rapport à 2019.
RSF rappelle qu'il ne fait pas bon être journaliste au Tchad : "Les reporters sont régulièrement arrêtés après la publication de certains articles. La plupart d’entre eux sont libérés assez rapidement, mais d’autres sont maintenus en détention arbitraire pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois, et certains subissent de mauvais traitements en prison."
Martin Inoua qui a bénéficié d'une mise en liberté provisoire il y a deux semaines, s'est réjouit de cette décision de la Cour d'appel de N'Djamena. Il a fait part d'une victoire pour la presse.
Le journaliste a passé près de huit mois en prison. Il était poursuivi pour des accusations de diffamation, association de malfaiteurs informatiques et dénonciation calomnieuse.
Cet décision intervient deux jours après la commémoration de l'édition 2020 de la Journée mondiale de la liberté de la presse.
L’édition 2020 du Classement mondial de la liberté de la presse établi par Reporters sans frontières (RSF) place le Tchad à la 123ème place, soit un recul d'une place par rapport à 2019.
RSF rappelle qu'il ne fait pas bon être journaliste au Tchad : "Les reporters sont régulièrement arrêtés après la publication de certains articles. La plupart d’entre eux sont libérés assez rapidement, mais d’autres sont maintenus en détention arbitraire pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois, et certains subissent de mauvais traitements en prison."