Lors de son discours d'ouverture, le représentant des donateurs, Lucas Honauer, a souligné que le Tchad fait face chaque année à une variété de crises humanitaires, notamment des conflits communautaires et des flux de réfugiés en provenance du Soudan. Il a alerté sur le fait qu'environ deux millions de personnes seront touchées par l'insécurité alimentaire aiguë.
Selon lui, cette crise humanitaire est la plus grave que le Tchad ait connu depuis des décennies. Lucas Honauer a exhorté les bailleurs de fonds non traditionnels à augmenter leurs contributions et le gouvernement à accroître le budget alloué aux crises humanitaires.
Dans son allocution, la ministre de l'Action Sociale, de la Solidarité Nationale et des Affaires Humanitaires, Fatime Boukar Kossei, a souligné que le plan de réponse humanitaire résulte des efforts conjoints des services techniques de l'État et des partenaires humanitaires pour améliorer la planification et la coordination des activités humanitaires. Ces activités s'inscrivent dans le cadre de l'urgence et s'alignent sur les programmes de développement au Tchad.
Selon la ministre Fatime Boukar, face à l'augmentation des besoins humanitaires d'année en année dans des secteurs où une réponse est nécessaire depuis longtemps, avec des demandes de financement en constante augmentation, il est impératif de changer la manière de travailler afin de réduire les vulnérabilités et de rendre les populations de plus en plus résilientes face aux chocs. Elle a également plaidé en faveur du renforcement des actions d'urgence, de développement et de consolidation de la paix.
Selon lui, cette crise humanitaire est la plus grave que le Tchad ait connu depuis des décennies. Lucas Honauer a exhorté les bailleurs de fonds non traditionnels à augmenter leurs contributions et le gouvernement à accroître le budget alloué aux crises humanitaires.
Dans son allocution, la ministre de l'Action Sociale, de la Solidarité Nationale et des Affaires Humanitaires, Fatime Boukar Kossei, a souligné que le plan de réponse humanitaire résulte des efforts conjoints des services techniques de l'État et des partenaires humanitaires pour améliorer la planification et la coordination des activités humanitaires. Ces activités s'inscrivent dans le cadre de l'urgence et s'alignent sur les programmes de développement au Tchad.
Selon la ministre Fatime Boukar, face à l'augmentation des besoins humanitaires d'année en année dans des secteurs où une réponse est nécessaire depuis longtemps, avec des demandes de financement en constante augmentation, il est impératif de changer la manière de travailler afin de réduire les vulnérabilités et de rendre les populations de plus en plus résilientes face aux chocs. Elle a également plaidé en faveur du renforcement des actions d'urgence, de développement et de consolidation de la paix.