Un "rapport fictif" adressé à l'Inspection générale d'État et mettant en cause le ministre Ali Mbodou Mbodoumi a été répandu sur les réseaux sociaux le 5 décembre 2020. La police a procédé à des arrestations dans le 9ème arrondissement de N'Djamena.
Le ministère de la Fonction publique, de l'Emploi et du Dialogue social a apporté vendredi des clarifications, informant que "depuis un certain temps, des individus aux intentions maléfiques tentent à tout prix de ternir l’image" du département ministériel "et particulièrement de son ministre".
Selon le ministère, "ceux-ci ne cessent d’orchestrer des simulations pour discréditer le processus de recrutement en cours par des basses manœuvres. Leur dernière action est la publication d’un rapport fictif le 5 décembre 2020 et dont eux seuls connaissent et détiennent la source".
"Le recrutement à la Fonction Publique voulu exceptionnellement par le Maréchal du Tchad, Idriss Deby Itno, ne saurait servir d’alibi pour saboter l’action Gouvernementale", précise le ministère.
Les autorités compétentes ont été saisies pour "faire la lumière sur cet agissement belliqueux", ajoute le ministère qui invite l’opinion publique à "garder son calme pour laisser le processus suivre son cours".
Le ministère de la Fonction publique, de l'Emploi et du Dialogue social a apporté vendredi des clarifications, informant que "depuis un certain temps, des individus aux intentions maléfiques tentent à tout prix de ternir l’image" du département ministériel "et particulièrement de son ministre".
Selon le ministère, "ceux-ci ne cessent d’orchestrer des simulations pour discréditer le processus de recrutement en cours par des basses manœuvres. Leur dernière action est la publication d’un rapport fictif le 5 décembre 2020 et dont eux seuls connaissent et détiennent la source".
"Le recrutement à la Fonction Publique voulu exceptionnellement par le Maréchal du Tchad, Idriss Deby Itno, ne saurait servir d’alibi pour saboter l’action Gouvernementale", précise le ministère.
Les autorités compétentes ont été saisies pour "faire la lumière sur cet agissement belliqueux", ajoute le ministère qui invite l’opinion publique à "garder son calme pour laisser le processus suivre son cours".