C'est pour mettre à la disposition des participants des informations relatives au processus d'organisation de la vingt neuvième conférence des parties (COP29), de la Convention-cadre des Nations-Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), qui se tiendra du 11 au 22 novembre 2024 à Bakou en Azerbaïdjan, que le Conseil Économique, Social, Culturel et Environnemental (CESCE), a organisé cette journée d'informations, qui vise également à dégager les enjeux et l'intérêt que revêt cette COP29 pour le Tchad.
Expliquant le rôle de la météorologie dans l'environnement, le directeur général adjoint de l'Agence Nationale de la Météorologie, Hamid Abakar Souleymane, a indiqué que c'est grâce aux données météorologique que le gouvernement sera en mesure d'alerter les populations, et prendre des mesures, pour atténuer les impacts des catastrophes naturelles.
S'agissant de l'adaptation au changement climatique, ses effets et résiliences, Arsene Djoula, expert en adaptation aux changements climatiques, a souligné que le Tchad est un pays particulièrement vulnérable au changement climatique. D'où les impacts du climat qui sont importants sur les grands systèmes hydrographiques, naturels, agro-sylvo-pastoraux, halieutiques et humains.
Le président du Conseil Économique, Social, Culturel et Environnemental (CESCE), Dr Ahmat Mbodou Mahamat, a pour sa part, rappelé l'objectif principal assigné aux États membres de cette Convention, qui vise à stabiliser les concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère.
Les engagements climatiques actuels des pays ne sont pas du tout sur la bonne voie, pour contenir le réchauffement à 1,5 °C, a ajouté Dr Ahmat Mbodou Mahamat. En somme, la Conférence des parties (COP), à la Convention-cadre des Nations-Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), a été instituée le 09 mai 1992, lors du sommet de la Terre à Rio de Janeiro au Brésil, et ratifiée par le Tchad en 1993.
La CCNUCC est entrée en vigueur le 21 mars 1994, elle compte aujourd'hui 198 Parties.
Expliquant le rôle de la météorologie dans l'environnement, le directeur général adjoint de l'Agence Nationale de la Météorologie, Hamid Abakar Souleymane, a indiqué que c'est grâce aux données météorologique que le gouvernement sera en mesure d'alerter les populations, et prendre des mesures, pour atténuer les impacts des catastrophes naturelles.
S'agissant de l'adaptation au changement climatique, ses effets et résiliences, Arsene Djoula, expert en adaptation aux changements climatiques, a souligné que le Tchad est un pays particulièrement vulnérable au changement climatique. D'où les impacts du climat qui sont importants sur les grands systèmes hydrographiques, naturels, agro-sylvo-pastoraux, halieutiques et humains.
Le président du Conseil Économique, Social, Culturel et Environnemental (CESCE), Dr Ahmat Mbodou Mahamat, a pour sa part, rappelé l'objectif principal assigné aux États membres de cette Convention, qui vise à stabiliser les concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère.
Les engagements climatiques actuels des pays ne sont pas du tout sur la bonne voie, pour contenir le réchauffement à 1,5 °C, a ajouté Dr Ahmat Mbodou Mahamat. En somme, la Conférence des parties (COP), à la Convention-cadre des Nations-Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), a été instituée le 09 mai 1992, lors du sommet de la Terre à Rio de Janeiro au Brésil, et ratifiée par le Tchad en 1993.
La CCNUCC est entrée en vigueur le 21 mars 1994, elle compte aujourd'hui 198 Parties.