Dans son discours, le représentant adjoint du Haut-Commissaire au Tchad, Mawazo Seseté Delly, souligne la nouvelle responsabilité qui incombe désormais aux armées nationales des États membres de réfléchir sur le contenu à donner à chacun des piliers du cadre de conformité du G5 Sahel dans son format actuel, en vue de sa mise en œuvre au sein de l'armée nationale tchadienne, dans le cadre de ses opérations au sein de la Force Conjointe du G5 Sahel.
Cet atelier se tient au Burkina Faso et au Niger, à la demande du Chef d'État-Major Général des Armées, afin de décliner le Cadre de conformité de la Force Conjointe du G5 Sahel sur le plan national au Tchad. L'objectif est de réfléchir et de discuter sur chacun des piliers du Cadre de conformité actuel, d'identifier les opportunités de sa mise en application au Tchad, de formuler des recommandations et d'identifier des activités appropriées pour mettre en œuvre ces recommandations, en vue de la déclinaison du Cadre de conformité au plan national.
De son côté, le représentant du ministre des Armées, Aouda Moussa Mouharib, rappelle l'application de la Résolution 2391 du Conseil de Sécurité des Nations Unies, mise en place depuis 2018, qui établit un cadre de conformité pour garantir que les opérations militaires de la Force Conjointe se déroulent dans le strict respect des droits de l'homme et du droit international humanitaire. La mise en œuvre de ce cadre de conformité, avec ses impacts positifs, a conduit les Chefs d'État du G5 Sahel, lors de leur Sommet tenu à Nouakchott le 30 juin 2020, à renouveler leur engagement à ne tolérer aucune violation des droits de l'homme et à respecter le droit international humanitaire.
Dans le contexte actuel, avec la nouvelle reconfiguration de la force conjointe permettant aux armées nationales de commander directement les opérations, il est primordial de réfléchir à la manière d'adapter ce cadre au niveau national, afin de renforcer la crédibilité de nos forces armées en opérations et d'offrir une meilleure protection à la population. L'État tchadien s'engage à promouvoir les droits de l'homme, le droit international humanitaire et le droit des réfugiés lors des opérations militaires.
Cet atelier se tient au Burkina Faso et au Niger, à la demande du Chef d'État-Major Général des Armées, afin de décliner le Cadre de conformité de la Force Conjointe du G5 Sahel sur le plan national au Tchad. L'objectif est de réfléchir et de discuter sur chacun des piliers du Cadre de conformité actuel, d'identifier les opportunités de sa mise en application au Tchad, de formuler des recommandations et d'identifier des activités appropriées pour mettre en œuvre ces recommandations, en vue de la déclinaison du Cadre de conformité au plan national.
De son côté, le représentant du ministre des Armées, Aouda Moussa Mouharib, rappelle l'application de la Résolution 2391 du Conseil de Sécurité des Nations Unies, mise en place depuis 2018, qui établit un cadre de conformité pour garantir que les opérations militaires de la Force Conjointe se déroulent dans le strict respect des droits de l'homme et du droit international humanitaire. La mise en œuvre de ce cadre de conformité, avec ses impacts positifs, a conduit les Chefs d'État du G5 Sahel, lors de leur Sommet tenu à Nouakchott le 30 juin 2020, à renouveler leur engagement à ne tolérer aucune violation des droits de l'homme et à respecter le droit international humanitaire.
Dans le contexte actuel, avec la nouvelle reconfiguration de la force conjointe permettant aux armées nationales de commander directement les opérations, il est primordial de réfléchir à la manière d'adapter ce cadre au niveau national, afin de renforcer la crédibilité de nos forces armées en opérations et d'offrir une meilleure protection à la population. L'État tchadien s'engage à promouvoir les droits de l'homme, le droit international humanitaire et le droit des réfugiés lors des opérations militaires.