Les personnes handicapées constituent une partie importante de la population. Selon le rapport mondial fourni par la Banque mondiale et l'Organisation mondiale de la santé (OMS), les personnes handicapées représentent 15% de la population tchadienne.
Le President du REPHAT, Galmaï Moussa Abdramane, souligne que "les tchadiens et les tchadiennes veulent dessiner un Tchad nouveau où toutes les couches de la société doivent être impliquées. C'est pourquoi le REPHAT a initié cette journée de réflexion pour que les personnes handicapés soient au cœur de cette transition".
À l'occasion de cette journée de réflexion, le REPHAT tient à rappeler aux autorités de la transition que le nouveau Tchad qui est entrain de se dessiner ne doit pas laisser de côté les personnes handicapées. Car la promotion des droits des personnes handicapées va hisser le Tchad au rang des pays respectueux des droits de l'Homme.
"Le dialogue national inclusif qui se dessine à l'horizon doit fortement impliquer tout le monde. Nous, personnes handicapées et citoyens à part entière de ce pays, devons apporter nos propositions sur les grands maux qui entravent le développement de notre pays tels que la forme de l'État, l'éducation, la santé, l'armée, la justice, l'inclusion. Nous demandons aux autorités en charge de la transition d'accélérer le processus d'organisation du dialogue national inclusif afin de permettre aux forces vives de la nation de s'assoir pour débattre sans tabou et sans complaisance des maux qui sont à l'origine de nos problèmes afin d'y apporter des solutions idoines", affirme Galmaï Moussa Abdramane.
À l'issue de cette journée de réflexion, des recommandations ont été formulées : la considération et l'implication des personnes handicapées à toutes les instances de la République, la mise en œuvre de la loi n°7 de la Convention des Nations Unies et son application dans un bref délai par le Conseil militaire de transition, et l'implication des femmes handicapées dans tous les domaines de l'État y compris la création d'une représentation à l'intérieur de la Maison de la femme pour défendre les droits des femmes handicapées.
Il est également suggéré la mise en place de la carte d'invalidité dans un bref délai afin que les personnes handicapées puissent entrer dans leur droit le plus absolu ; l'accessibilité des personnes handicapées à l'éducation, la formation, la santé et tous les autres services de l'État, ainsi que la prise en compte du représentant des personnes handicapées au Conseil national de transition.
Le President du REPHAT, Galmaï Moussa Abdramane, souligne que "les tchadiens et les tchadiennes veulent dessiner un Tchad nouveau où toutes les couches de la société doivent être impliquées. C'est pourquoi le REPHAT a initié cette journée de réflexion pour que les personnes handicapés soient au cœur de cette transition".
À l'occasion de cette journée de réflexion, le REPHAT tient à rappeler aux autorités de la transition que le nouveau Tchad qui est entrain de se dessiner ne doit pas laisser de côté les personnes handicapées. Car la promotion des droits des personnes handicapées va hisser le Tchad au rang des pays respectueux des droits de l'Homme.
"Le dialogue national inclusif qui se dessine à l'horizon doit fortement impliquer tout le monde. Nous, personnes handicapées et citoyens à part entière de ce pays, devons apporter nos propositions sur les grands maux qui entravent le développement de notre pays tels que la forme de l'État, l'éducation, la santé, l'armée, la justice, l'inclusion. Nous demandons aux autorités en charge de la transition d'accélérer le processus d'organisation du dialogue national inclusif afin de permettre aux forces vives de la nation de s'assoir pour débattre sans tabou et sans complaisance des maux qui sont à l'origine de nos problèmes afin d'y apporter des solutions idoines", affirme Galmaï Moussa Abdramane.
À l'issue de cette journée de réflexion, des recommandations ont été formulées : la considération et l'implication des personnes handicapées à toutes les instances de la République, la mise en œuvre de la loi n°7 de la Convention des Nations Unies et son application dans un bref délai par le Conseil militaire de transition, et l'implication des femmes handicapées dans tous les domaines de l'État y compris la création d'une représentation à l'intérieur de la Maison de la femme pour défendre les droits des femmes handicapées.
Il est également suggéré la mise en place de la carte d'invalidité dans un bref délai afin que les personnes handicapées puissent entrer dans leur droit le plus absolu ; l'accessibilité des personnes handicapées à l'éducation, la formation, la santé et tous les autres services de l'État, ainsi que la prise en compte du représentant des personnes handicapées au Conseil national de transition.