"Les recettes fiscales et douanières ne sont pas à la hauteur de la situation économique du pays", selon l'Inspecteur général d'État, Issa Mahamat Abdelmamout, qui a adressé le 14 décembre 2020 une note circulaire aux agents de l'État (à l'exception des médecins et enseignants) sur la question de la déperdition des recettes de l'État et les conflits d'intérêts.
"Cet état de fait est principalement dû aux comportements non orthodoxes de certains agents de l'État qui sont en même temps actionnaires, conseillers, détenteurs ou employés des cabinets fiscaux ou des bureaux de transit", affirme Issa Mahamat Abdelmamout.
Suite à plusieurs missions de contrôle et de vérification des régies financières du pays, l'Inspection Générale d'État demande à tous les agents de l'État se trouvant dans cette situation de se retirer immédiatement pour l'intérêt national d'ici 10 jours. "Passé ce délai, tout agent pris en flagrant délit sera traduit devant les juridictions compétentes", précise Issa Mahamat Abdelmamout.
Il ajoute que "c'est une situation intolérable au regard du droit et face aux défis majeurs auxquels fait face notre pays. Nous avons tous l'obligation de mettre fin à cette pratique et de changer désormais nos habitudes afin d'atteindre les objectifs de zéro déperdition des recettes publiques prônées par les hautes autorités du pays".
"Cet état de fait est principalement dû aux comportements non orthodoxes de certains agents de l'État qui sont en même temps actionnaires, conseillers, détenteurs ou employés des cabinets fiscaux ou des bureaux de transit", affirme Issa Mahamat Abdelmamout.
Suite à plusieurs missions de contrôle et de vérification des régies financières du pays, l'Inspection Générale d'État demande à tous les agents de l'État se trouvant dans cette situation de se retirer immédiatement pour l'intérêt national d'ici 10 jours. "Passé ce délai, tout agent pris en flagrant délit sera traduit devant les juridictions compétentes", précise Issa Mahamat Abdelmamout.
Il ajoute que "c'est une situation intolérable au regard du droit et face aux défis majeurs auxquels fait face notre pays. Nous avons tous l'obligation de mettre fin à cette pratique et de changer désormais nos habitudes afin d'atteindre les objectifs de zéro déperdition des recettes publiques prônées par les hautes autorités du pays".