Les tripes de viande sont des préparations obtenues par cuisson, dans une gelée assaisonnée de morceau d'estomac de bœuf, veau, mouton, appelée communément en arabe local tchadien « marara ».
Cependant, il est à noter que la majorité de la population de N’Djamena savoure cette nourriture avec trop d'appétit dans les différents coins de vente de la ville.
Souvent critiquer pour son côté moins hygiénique, parce qu'on rencontre les points de grillades à côté des artères, laisser à la merci de la poussière, pas bien couvert, et la qualité laisse à désirer, puisque le produit ne passe pas par les docteurs vétérinaires avant la consommation.
Au-delà de toutes ces conditions, aujourd'hui le « marara » est devenu une nourriture qui sauve les habitants de N’Djamena, pour calmer la faim en attendant le déjeuner.
Avec 500 FCFA, on peut obtenir le produit, accompagné d'un pain, du piment et un peu d'oignon, et le compte est bon. Cela permet à de nombreuses personnes de se ravitailler, les hommes, les femmes et les jeunes étant tous impliqués dans la consommation de tripes.
Cependant, il faut noter que c'est l’aliment le plus consommer à N’Djamena en raison de la facilité à se procurer, à travers son coût et avec une saveur délicieuse qui satisfait les consommateurs. Il est nécessaire que l'on puisse mettre un accent sur les conditions de préparation, bien couvrir, prendre au sérieux puisque la vie de la population en dépend.
De ce fait, il est important que les acteurs concernés s'y mettent, le ministère de l'Elevage, les agents vétérinaires afin d'assurer la sécurité alimentaire de cette population.
Cependant, il est à noter que la majorité de la population de N’Djamena savoure cette nourriture avec trop d'appétit dans les différents coins de vente de la ville.
Souvent critiquer pour son côté moins hygiénique, parce qu'on rencontre les points de grillades à côté des artères, laisser à la merci de la poussière, pas bien couvert, et la qualité laisse à désirer, puisque le produit ne passe pas par les docteurs vétérinaires avant la consommation.
Au-delà de toutes ces conditions, aujourd'hui le « marara » est devenu une nourriture qui sauve les habitants de N’Djamena, pour calmer la faim en attendant le déjeuner.
Avec 500 FCFA, on peut obtenir le produit, accompagné d'un pain, du piment et un peu d'oignon, et le compte est bon. Cela permet à de nombreuses personnes de se ravitailler, les hommes, les femmes et les jeunes étant tous impliqués dans la consommation de tripes.
Cependant, il faut noter que c'est l’aliment le plus consommer à N’Djamena en raison de la facilité à se procurer, à travers son coût et avec une saveur délicieuse qui satisfait les consommateurs. Il est nécessaire que l'on puisse mettre un accent sur les conditions de préparation, bien couvrir, prendre au sérieux puisque la vie de la population en dépend.
De ce fait, il est important que les acteurs concernés s'y mettent, le ministère de l'Elevage, les agents vétérinaires afin d'assurer la sécurité alimentaire de cette population.