Un kit de lavage de mains à Laï. Illustration. © Éric Guedi/Alwihda Info
L'ennemi commun est toujours là et ne cesse de faire paniquer le monde. Les cas positifs de coronavirus ne font qu'augmenter du jour au lendemain. Du premier cas enregistré le 19 mars dernier, nous sommes aujourd'hui à 117 cas positifs de Covid-19 avec 39 guéris et 10 décès.
À défaut de vaccin, les seules armes pour lutter contre cette pandémie sont le respect des mesures barrières, notamment le lavage constant des mains avec de l'eau et du savon et la distanciation d'au moins un mètre entre personnes.
C'est dans cette optique que le gouvernement multiplie les actions afin de barrer la route au Covid-19, casser les chaines de transmissions existantes et éviter la propagation.
Face à la lutte contre la pandémie de Covid-19, la cellule de veille et de sécurité sanitaire continue de recevoir des contributions en masse, qu'elles soient financières ou matérielles. Cependant, tous les dons reçus sont centralisés dans la capitale N'Djamena.
Ce constat amène à s'interroger : Pourquoi ces dons ne sont pas jusque-là répartis dans les provinces ? Les provinces ne sont-elles pas concernées par la lutte ? Pourtant, les populations de ces provinces subissent au quotidien tous les effets secondaires des mesures prises par le gouvernement contre le Covid-19, puisque tout est fermé.
Les comités provinciaux de veille et de sécurité sanitaire doivent être davantage renforcés. À moins de leur demander d'aller chercher eux-mêmes des dons, qu'attendons-nous pour mettre à leur disposition les moyens de lutte reçus ?
Voulons-nous êtres des médecins après la mort ? Si la lutte contre le coronavirus doit profiter à une tierce personne, ce n'est pas la peine d'impliquer et de faire souffrir tout le monde.
Par exemple, les appareils de tests doivent être rendus disponibles dans tous les hôpitaux provinciaux car il n'y a pas que N'Djamena qui soit vulnérable, malgré que la capitale soit le foyer de la pandémie au Tchad. Le mal est réellement là, il faut une vision large de la chose pour l'éradiquer définitivement en décentralisant les possibilités de lutte.
À défaut de vaccin, les seules armes pour lutter contre cette pandémie sont le respect des mesures barrières, notamment le lavage constant des mains avec de l'eau et du savon et la distanciation d'au moins un mètre entre personnes.
C'est dans cette optique que le gouvernement multiplie les actions afin de barrer la route au Covid-19, casser les chaines de transmissions existantes et éviter la propagation.
Face à la lutte contre la pandémie de Covid-19, la cellule de veille et de sécurité sanitaire continue de recevoir des contributions en masse, qu'elles soient financières ou matérielles. Cependant, tous les dons reçus sont centralisés dans la capitale N'Djamena.
Ce constat amène à s'interroger : Pourquoi ces dons ne sont pas jusque-là répartis dans les provinces ? Les provinces ne sont-elles pas concernées par la lutte ? Pourtant, les populations de ces provinces subissent au quotidien tous les effets secondaires des mesures prises par le gouvernement contre le Covid-19, puisque tout est fermé.
Les comités provinciaux de veille et de sécurité sanitaire doivent être davantage renforcés. À moins de leur demander d'aller chercher eux-mêmes des dons, qu'attendons-nous pour mettre à leur disposition les moyens de lutte reçus ?
Voulons-nous êtres des médecins après la mort ? Si la lutte contre le coronavirus doit profiter à une tierce personne, ce n'est pas la peine d'impliquer et de faire souffrir tout le monde.
Par exemple, les appareils de tests doivent être rendus disponibles dans tous les hôpitaux provinciaux car il n'y a pas que N'Djamena qui soit vulnérable, malgré que la capitale soit le foyer de la pandémie au Tchad. Le mal est réellement là, il faut une vision large de la chose pour l'éradiquer définitivement en décentralisant les possibilités de lutte.