Il a insisté sur le caractère insurrectionnel des évènements : "sur les réseaux sociaux, ils ont donné des formations sur comment se protéger des gaz lacrymogènes".
"La plupart des personnes ne sont pas de N’Djamena. Elles sont venues de l’extérieur. Il y a des gens qui sont venus pour des raisons mystiques, sous prétexte qu’ils seraient des blindés", affirme le général Idriss Dokony Adiker.
"La meilleure manière de stopper la violence c’est d’instaurer le couvre-feu. (...) Les pays qui ont le plus de problèmes sont passés par là (…) Nous ne voulons pas arriver à cet État démissionnaire", justifie le ministre de la Sécurité publique et de l'Immigration.
"La plupart des personnes ne sont pas de N’Djamena. Elles sont venues de l’extérieur. Il y a des gens qui sont venus pour des raisons mystiques, sous prétexte qu’ils seraient des blindés", affirme le général Idriss Dokony Adiker.
"La meilleure manière de stopper la violence c’est d’instaurer le couvre-feu. (...) Les pays qui ont le plus de problèmes sont passés par là (…) Nous ne voulons pas arriver à cet État démissionnaire", justifie le ministre de la Sécurité publique et de l'Immigration.