Tchad : plaidoyer auprès des pouvoirs publics pour le respect des droits des détenus. © Ben Kadabio/Alwihda Info
À l'occasion de la Journée des droits de l’homme qui est célébrée chaque 10 décembre, un plaidoyer a été initié pour la prise en compte et la satisfaction effective des besoins élémentaires des couches les plus vulnérables de la population dans un Etat de droit et démocratique pendant et après la pandémie de COVID-19, y compris les besoins des personnes détenues.
Le plaidoyer est à l'initiative de la Fédération Internationale des Action des Chrétiens pour l’abolition de la torture (FIACAT), en partenariat avec l’Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture, section du Tchad (ACAT-Tchad). Il s'est déroulé autour d'une table-ronde dans les locaux de Fm Liberté à N'Djamena.
Le plaidoyer est à l'initiative de la Fédération Internationale des Action des Chrétiens pour l’abolition de la torture (FIACAT), en partenariat avec l’Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture, section du Tchad (ACAT-Tchad). Il s'est déroulé autour d'une table-ronde dans les locaux de Fm Liberté à N'Djamena.
Tchad : plaidoyer auprès des pouvoirs publics pour le respect des droits des détenus. © Ben Kadabio/Alwihda Info
Il vise à accompagner le Tchad dans le respect des procédures judiciaires relatives à la détention préventive afin d’améliorer les conditions de détention.
La FIACAT et l'ACAT-Tchad estiment que les besoins élémentaires des couches les plus vulnérables dans un Etat de droit et démocratique, peuvent se résumer comme suit : les besoins matériels, l'environnement, la vie sociale, laliberté, les connaissances, le développement personnel.
La FIACAT et l'ACAT-Tchad estiment que les besoins élémentaires des couches les plus vulnérables dans un Etat de droit et démocratique, peuvent se résumer comme suit : les besoins matériels, l'environnement, la vie sociale, laliberté, les connaissances, le développement personnel.
Tchad : plaidoyer auprès des pouvoirs publics pour le respect des droits des détenus. © Ben Kadabio/Alwihda Info
Les deux organisations relèvent que même si les personnes détenues ne peuvent prétendre à la satisfaction de tous les besoins fondamentaux, certains droits doivent, toutefois, leur être reconnus. Il s’agit, entre autres, des droits suivants : droit à un avocat, droit de visite, droit à l'intégrité physique et morale, droit à la liberté religieuse, droit à des conditions de vie appropriées, droit à la santé des détenus.
L'objectif du plaidoyer est d'inciter les pouvoirs publics à prendre conscience de leurs obligations de protéger les droits humains, y compris ceux des personnes détenues, conditions sine qua non de sauver la paix, le « vivre ensemble » et de s’atteler à un développement apaisé et durable.
L'objectif du plaidoyer est d'inciter les pouvoirs publics à prendre conscience de leurs obligations de protéger les droits humains, y compris ceux des personnes détenues, conditions sine qua non de sauver la paix, le « vivre ensemble » et de s’atteler à un développement apaisé et durable.