Un constat s’impose : un couple amoureux envisage de se marier, mais le choix spontané de leur union se heurte à la question de la religion, l’un étant musulman et l’autre chrétien.
Contrairement aux générations précédentes, de nombreux jeunes d’aujourd’hui ne voient aucun obstacle à s’unir avec une personne de religion différente. Cependant, le principal obstacle, dans ces unions, reste souvent les parents. Beaucoup d’entre eux s’opposent à cette idée, invoquant les traditions et la religion.
Bien que leur fils ou fille soit consentant dans cette relation amoureuse, certains parents ont du mal à accepter ce choix, estimant qu’il est indispensable, pour un premier mariage, que leur enfant épouse une personne de la même ethnie, avant d’envisager de se marier avec une personne d’une autre origine.
Dans d’autres cas, ce n’est pas l’ethnie qui pose problème, mais la religion. Avant le mariage, certains parents exigent même la conversion du futur conjoint pour qu’il soit accepté dans la famille. Ces obstacles représentent un véritable défi pour les jeunes qui s’aiment, sans vouloir faire de leur religion ou de leur appartenance ethnique un obstacle.
Pour certains, « une femme doit suivre son mari », tandis que pour d’autres, la question de la religion importe peu. Ces exigences se retrouvent aussi bien dans certaines familles musulmanes que dans certaines Églises, comme l’Église baptiste ou l’Église Évangélique du Tchad.
Si l’on remonte à l’époque de l’ancien président tchadien Ngarta Tombalbaye, les jeunes faisaient librement leur choix et se mariaient sans rencontrer d’oppositions majeures liées à la coutume, ou à la religion. Aujourd’hui, la situation semble plus complexe. Il est d’autant plus préoccupant qu’il n’existe pas de législation formelle interdisant le choix libre d’un conjoint en matière de mariage.
Cette situation appelle à un changement de mentalité. Comme le dit l’adage : « le cœur a ses raisons que la raison ignore ». En agissant ainsi, les parents peuvent, parfois involontairement, pousser leurs enfants vers l’infidélité ou des comportements répréhensibles, en les empêchant de suivre leur destinée.
Il est important de noter que de nos jours, certains jeunes couples, autour de nous, ont choisi de vivre ensemble et sont très heureux, même si leur projet de mariage n’a pas encore abouti, malgré leurs divergences religieuses ou culturelles.
Alors, pourquoi remettre en question la volonté d’une personne ou la volonté de Dieu, celui qui unit les êtres ? Il est essentiel de ne pas confondre coutume et religion.
Contrairement aux générations précédentes, de nombreux jeunes d’aujourd’hui ne voient aucun obstacle à s’unir avec une personne de religion différente. Cependant, le principal obstacle, dans ces unions, reste souvent les parents. Beaucoup d’entre eux s’opposent à cette idée, invoquant les traditions et la religion.
Bien que leur fils ou fille soit consentant dans cette relation amoureuse, certains parents ont du mal à accepter ce choix, estimant qu’il est indispensable, pour un premier mariage, que leur enfant épouse une personne de la même ethnie, avant d’envisager de se marier avec une personne d’une autre origine.
Dans d’autres cas, ce n’est pas l’ethnie qui pose problème, mais la religion. Avant le mariage, certains parents exigent même la conversion du futur conjoint pour qu’il soit accepté dans la famille. Ces obstacles représentent un véritable défi pour les jeunes qui s’aiment, sans vouloir faire de leur religion ou de leur appartenance ethnique un obstacle.
Pour certains, « une femme doit suivre son mari », tandis que pour d’autres, la question de la religion importe peu. Ces exigences se retrouvent aussi bien dans certaines familles musulmanes que dans certaines Églises, comme l’Église baptiste ou l’Église Évangélique du Tchad.
Si l’on remonte à l’époque de l’ancien président tchadien Ngarta Tombalbaye, les jeunes faisaient librement leur choix et se mariaient sans rencontrer d’oppositions majeures liées à la coutume, ou à la religion. Aujourd’hui, la situation semble plus complexe. Il est d’autant plus préoccupant qu’il n’existe pas de législation formelle interdisant le choix libre d’un conjoint en matière de mariage.
Cette situation appelle à un changement de mentalité. Comme le dit l’adage : « le cœur a ses raisons que la raison ignore ». En agissant ainsi, les parents peuvent, parfois involontairement, pousser leurs enfants vers l’infidélité ou des comportements répréhensibles, en les empêchant de suivre leur destinée.
Il est important de noter que de nos jours, certains jeunes couples, autour de nous, ont choisi de vivre ensemble et sont très heureux, même si leur projet de mariage n’a pas encore abouti, malgré leurs divergences religieuses ou culturelles.
Alors, pourquoi remettre en question la volonté d’une personne ou la volonté de Dieu, celui qui unit les êtres ? Il est essentiel de ne pas confondre coutume et religion.