Dans le cadre du Projet méditation agro-pastorale au Sahel, le Centre pour le dialogue humanitaire, avec l’appui financier de l’Union européenne, et le royaume de Danemark, organise depuis ce matin à Bol, une rencontre transfrontalière entre les médiateurs agropastoraux du Tchad et du Niger.
C'est le gouverneur de la province du Lac, Adoum Moustapha Brahimi qui a présidé la cérémonie. Prennent part à cette rencontre transfrontalière, les autorités administratives et les médiateurs agropastoraux du Tchad et du Niger.
Durant deux jours, les participants vont échanger leurs expériences en matière de résolution des conflits, définir le plan de communication entre les deux pays, mais aussi renforcer la collaboration transfrontalière en matière de gestion de conflit et d'accès aux ressources naturelles.
Le maire de la ville de Bol, Ahmat Abakar Abdoulaye, s'est réjoui de la réalisation des activités du projet médiation agro-pastorale au Sahel, qui traduit l'engagement des autorités à faire du Sahel un espace de paix, propice au développement durable, sans conflits communautaires.
Le représentant de Centre pour le dialogue humanitaire, Ali Abdoulaye Traoré et le préfet du département de Nguigmi au Niger, Adam Moustapha Bello, ont relevé l'objectif de cet atelier qui vise à instaurer, perpétuer et à faciliter un cadre d’échanges entre les médiateurs agro-pastoraux installés de part et d’autres des frontières Tchad-Niger, en soutien aux efforts de prévention et résolution des différends relatifs aux ressources naturelles, au vol de bétail et à une transhumance transnationale apaisée.
Le gouverneur de la province du Lac, Adoum Moustapha Brahimi a déclaré que le phénomène terroriste, conjugué à la raréfaction des ressources, ont mis à mal la paix et ma cohésion sociale. Le premier magistrat de la province a adressé ses remerciements au Centre pour le dialogue humanitaire, pour son accompagnement constant aux différents réseaux des médiateurs agro pastoraux du Niger et du Tchad.
C'est le gouverneur de la province du Lac, Adoum Moustapha Brahimi qui a présidé la cérémonie. Prennent part à cette rencontre transfrontalière, les autorités administratives et les médiateurs agropastoraux du Tchad et du Niger.
Durant deux jours, les participants vont échanger leurs expériences en matière de résolution des conflits, définir le plan de communication entre les deux pays, mais aussi renforcer la collaboration transfrontalière en matière de gestion de conflit et d'accès aux ressources naturelles.
Le maire de la ville de Bol, Ahmat Abakar Abdoulaye, s'est réjoui de la réalisation des activités du projet médiation agro-pastorale au Sahel, qui traduit l'engagement des autorités à faire du Sahel un espace de paix, propice au développement durable, sans conflits communautaires.
Le représentant de Centre pour le dialogue humanitaire, Ali Abdoulaye Traoré et le préfet du département de Nguigmi au Niger, Adam Moustapha Bello, ont relevé l'objectif de cet atelier qui vise à instaurer, perpétuer et à faciliter un cadre d’échanges entre les médiateurs agro-pastoraux installés de part et d’autres des frontières Tchad-Niger, en soutien aux efforts de prévention et résolution des différends relatifs aux ressources naturelles, au vol de bétail et à une transhumance transnationale apaisée.
Le gouverneur de la province du Lac, Adoum Moustapha Brahimi a déclaré que le phénomène terroriste, conjugué à la raréfaction des ressources, ont mis à mal la paix et ma cohésion sociale. Le premier magistrat de la province a adressé ses remerciements au Centre pour le dialogue humanitaire, pour son accompagnement constant aux différents réseaux des médiateurs agro pastoraux du Niger et du Tchad.