En réalité, "Ali" est le nom de son meilleur ami qui vit à l'étranger. Pour renforcer les liens d'amitié et en souvenir de leurs bons moments d'enfance, Hamza souhaitait que l'un de ses enfants porte le nom de son ami. Malheureusement, il se retrouve maintenant avec deux enfants portant le même prénom.
Dans la tradition musulmane, le baptême a lieu au septième jour de la naissance. Une prière est prononcée à l'oreille de l'enfant, souvent par le père en l'absence de l'imam, et ensuite le nom de l'enfant est rendu public devant la famille, les amis et les voisins. Une fête est ensuite organisée en l'honneur de l'enfant et de sa mère, et le nouveau-né reçoit des cadeaux et de l'argent.
Finalement, c'est l'enfant de la première femme qui porte le prénom "Ali" en souvenir de son meilleur ami. Pour différencier l'autre enfant, la lettre "M" a été ajoutée à son prénom, devenant ainsi "Alim".
Cette révélation a choqué les deux mères, mais dans une société où l'homme est souvent favorisé, elles ont dû s'abstenir de réagir. Les voisins du quartier Ridina, dans le 3e arrondissement, ont été obligés de s'habituer à ce nouveau prénom, même si aucune cérémonie n'a été organisée.
La polygamie reste un débat ouvert entre religion et tradition. Cette pratique n'est pas sans conséquences. Bien que Hamza ait donné le même nom à deux enfants de mères différentes, il existe de nombreux autres problèmes liés à cette union.
Dans la tradition musulmane, le baptême a lieu au septième jour de la naissance. Une prière est prononcée à l'oreille de l'enfant, souvent par le père en l'absence de l'imam, et ensuite le nom de l'enfant est rendu public devant la famille, les amis et les voisins. Une fête est ensuite organisée en l'honneur de l'enfant et de sa mère, et le nouveau-né reçoit des cadeaux et de l'argent.
Finalement, c'est l'enfant de la première femme qui porte le prénom "Ali" en souvenir de son meilleur ami. Pour différencier l'autre enfant, la lettre "M" a été ajoutée à son prénom, devenant ainsi "Alim".
Cette révélation a choqué les deux mères, mais dans une société où l'homme est souvent favorisé, elles ont dû s'abstenir de réagir. Les voisins du quartier Ridina, dans le 3e arrondissement, ont été obligés de s'habituer à ce nouveau prénom, même si aucune cérémonie n'a été organisée.
La polygamie reste un débat ouvert entre religion et tradition. Cette pratique n'est pas sans conséquences. Bien que Hamza ait donné le même nom à deux enfants de mères différentes, il existe de nombreux autres problèmes liés à cette union.