Cette situation devient particulièrement préoccupante lorsque les parents ont plusieurs enfants à scolariser, car les dépenses augmentent proportionnellement. Par exemple, Hubert, un parent d'élève, se trouve devant un dilemme cornélien lorsqu'il doit choisir entre l'achat des fournitures scolaires et le paiement des frais de réinscription. Il se demande : "Dois-je prioriser l'achat des fournitures scolaires ou la réinscription de mes enfants ?"
Si l'augmentation des frais d'inscription dans les établissements publics suscite déjà de nombreuses critiques, la situation est encore plus problématique dans les écoles privées. Dans certaines d'entre elles, les frais de scolarité dépassent parfois ce que l'on paie pour des études supérieures. Le pire est que certaines écoles maternelles privées facturent plus de 60 000 FCFA, dépassant ainsi le salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG). Cette réalité remet en question le principe de l'éducation pour tous lorsque l'accès à la maternelle devient prohibitif.
Clémentine Ndjingatouloum, qui doit payer les frais d'inscription de son petit-fils, exprime son désarroi en déclarant : "Les frais d'inscription, les fournitures scolaires, sans oublier les frais de déplacement. Je dois débourser 80 000 FCFA, ce qui est incompréhensible." Malheureusement, les parents n'ont souvent pas d'autre choix que de sacrifier une part importante de leur budget pour l'avenir de leurs enfants.
Le véritable problème réside dans le fait que les établissements scolaires ne semblent pas toujours comprendre la situation difficile des parents d'élèves. Cette situation nécessite une réflexion collective. Certes, les dépenses liées à la rentrée scolaire varient en fonction du type d'école, qu'elle soit privée ou publique. Cependant, les parents rencontrent les mêmes difficultés, aggravées par la situation économique actuelle et la hausse des prix des produits alimentaires. L'éducation est inestimable, car elle constitue le socle du bien-être de toute une société. Il est donc nécessaire de réexaminer les taux de scolarité dans les établissements scolaires.
Si l'augmentation des frais d'inscription dans les établissements publics suscite déjà de nombreuses critiques, la situation est encore plus problématique dans les écoles privées. Dans certaines d'entre elles, les frais de scolarité dépassent parfois ce que l'on paie pour des études supérieures. Le pire est que certaines écoles maternelles privées facturent plus de 60 000 FCFA, dépassant ainsi le salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG). Cette réalité remet en question le principe de l'éducation pour tous lorsque l'accès à la maternelle devient prohibitif.
Clémentine Ndjingatouloum, qui doit payer les frais d'inscription de son petit-fils, exprime son désarroi en déclarant : "Les frais d'inscription, les fournitures scolaires, sans oublier les frais de déplacement. Je dois débourser 80 000 FCFA, ce qui est incompréhensible." Malheureusement, les parents n'ont souvent pas d'autre choix que de sacrifier une part importante de leur budget pour l'avenir de leurs enfants.
Le véritable problème réside dans le fait que les établissements scolaires ne semblent pas toujours comprendre la situation difficile des parents d'élèves. Cette situation nécessite une réflexion collective. Certes, les dépenses liées à la rentrée scolaire varient en fonction du type d'école, qu'elle soit privée ou publique. Cependant, les parents rencontrent les mêmes difficultés, aggravées par la situation économique actuelle et la hausse des prix des produits alimentaires. L'éducation est inestimable, car elle constitue le socle du bien-être de toute une société. Il est donc nécessaire de réexaminer les taux de scolarité dans les établissements scolaires.