
Le collège des chefs d'État de l'Alliance des États du Sahel (AES) a récemment exprimé sa vive condamnation suite à l'abattage d'un drone malien par les forces algériennes. Considérant cet acte comme une agression envers l'ensemble de l'espace confédéral, l'AES a décidé de rappeler ses ambassadeurs en poste à Alger.
Les membres de l'AES ont exprimé leur intention de maintenir une ligne de communication ouverte pour aborder ce conflit, tout en renforçant leur solidarité face à ce qu'ils considèrent comme une menace collective.
Cet incident a exacerbé les tensions diplomatiques entre les membres de l'AES et l'Algérie, signalant des préoccupations croissantes concernant la sécurité et les territoires au sein de la région. L'AES est constituée d'États qui, progressivement, renforcent leur coopération face aux défis sécuritaires communs, et cet acte a été perçu comme un acte hostile qui remet en question cette dynamique.
Le rappel des ambassadeurs témoigne de la gravité de la situation et marque une escalade significative des hostilités diplomatiques. Cela soulève aussi des craintes concernant l'impact potentiel sur la coopération régionale dans des domaines critiques, notamment la sécurité, la lutte contre le terrorisme et la gestion des conflits au Sahel.
Les membres de l'AES ont exprimé leur intention de maintenir une ligne de communication ouverte pour aborder ce conflit, tout en renforçant leur solidarité face à ce qu'ils considèrent comme une menace collective.